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    Datte: 08/12/2018, Catégories: h, fh, fffh, fhhh, couleurs, rousseurs, Collègues / Travail grosseins, forêt, campagne, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, facial, Oral pénétratio, fsodo, délire, Humour sf, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... trempée de salive.
    
    Parfois le scénario changeait. Elle posait d’office son nénuphar sur les lèvres d’Albert et prenait en bouche le vit.
    
    Albert se retenait de lui agripper les cheveux et de lui forcer les mâchoires. Interdiction formelle de toucher.
    
    Puis, alors qu’il se sentait partir, la vicieuse s’arrêtait, regardait le malheureux avec un petit sourire faussement timide.
    
    Elle lui tripotait quelques minutes les jujubes, masturbait le bel engin.
    
    Toujours avec lenteur, elle venait poser son petit nid d’amour tel un bâillon sur la bouche du pauvre homme.
    
    Toujours sans toucher, il léchait, aspirait, insinuait sa langue dans les orifices prévus à cet effet. Explorant tous les méandres, recoins et bourgeons mis à sa disposition.
    
    Le belle pendant ce temps gémissait en se caressant les seins. Elle revenait à sa langue natale pour exprimer des choses qu’Albert n’avait pas besoin de comprendre.
    
    Estimant que cela durait depuis assez longtemps, elle s’arrachait de la bouche masculine et venait s’empaler sur la verge toujours aussi dure. Elle poussait alors un feulement rauque, un cri de bête sauvage. Elle venait de prendre son pied.
    
    Elle faisait preuve de mansuétude, elle reprenait le sexe masculin en main et le masturbait. Jusqu’à ce qu’il relâche sa mâle provende.
    
    Amalie bondissait alors à travers la pièce, prenant appui sur les murs et le plafond, gobant au vol les gouttes de sperme qui flottaient dans la pièce. Elle poussait de petits cris de joie en ...
    ... traversant la chambre tête en bas.
    
    Albert la regardait faire, maintenu sur sa couche par des sangles magnétiques.
    
    L’absence de gravité permettait de ces fantaisies.
    
    Albert, Amalie, Linda, Alhem et Julia résidaient dans la station spatiale internationale ISS 412,
    
    À l’intérieur même de la ceinture d’astéroïdes, nichée dans une lacune de Kirkwood, à précisément 2, 25 unités astronomiques, soit approximativement à 336 595 209, 751 kilomètres de la terre.
    
    La station était ravitaillée tous les mois par une capsule automatique. Elle leur amenait eau, nourriture, médicaments. Ils la réexpédiaient avec les données de leurs recherches.
    
    Ces cailloux riches en minéraux rares et précieux attiraient la convoitise des compagnies minières.
    
    La station vérifiait la possibilité de vivre sur les astéroïdes.
    
    Création d’oxygène par des bactéries et des plantes, production d’eau, de nourriture hydroponique et même élevage.
    
    Bientôt peut-être, des stations posées sur les astéroïdes accueilleraient des ouvriers, des mineurs. Des recherches envisageaient même la reproduction humaine dans l’espace, d’où les analyses du sperme d’Albert.
    
    Mais Albert n’avait que faire des compagnies minières, des élevages spatiaux et des bactéries créatrices d’oxygène.
    
    Il ne rêvait que de la poitrine de Linda.
    
    Lui, agenouillé entre ses jambes écartées.
    
    Lui, insérant sa tige dure dans le ventre offert.
    
    Lui s’agitant en elle.
    
    Et sous ses yeux émerveillés, les fabuleux nichons de la ...
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