1. La découverte du plaisir


    Datte: 08/12/2018, Catégories: jeunes, copains, grossexe, école, Oral fdanus, fsodo, init, Auteur: Steph38, Source: Revebebe

    Je m’appelle Céline. J’ai aujourd’hui 40 ans, mariée, 2 enfants. Je suis très libérée côté sexuel. Mon mari n’a pas à se plaindre de mes performances au lit. Au contraire même, il réclame beaucoup. Je suis heureuse, car bon nombre de couples de notre âge n’ont sûrement pas une activité sexuelle aussi intense que la nôtre. Mais cela n’a pas toujours été comme cela. Enfin de mon côté.
    
    J’ai été élevée par des parents autoritaires et très croyants. Pour eux, le sexe était sale, malsain. La masturbation n’était pas du tout envisageable. Dès que j’ai commencé à devenir physiquement une femme, mes parents et surtout ma mère, m’ont mis en garde contre tout ça.
    
    Jusqu’à mes 20 ans, le sexe était pour moi sale. Les rapports sexuels et les garçons ne m’intéressaient pas. La masturbation ne me tentait pas du tout non plus. Je faisais beaucoup de rêves érotiques qui me mettaient dans un état incroyable, mais, à mon réveil, je chassais toutes ces mauvaises pensées de mon esprit.
    
    Quand il m’arrivait en me lavant de me frotter un peu trop le sexe, cela me provoquait des prémices de frissons. Je m’arrêtais sur le champ en me disant que je ne pouvais pas faire ça. Mais en mon for intérieur, mon instinct, était à l’opposé de ces concepts.
    
    J’étais étudiante à l’époque. Mes camarades de classe n’étaient pas du tout comme moi. Elles sortaient beaucoup, couchaient avec des garçons. Elles parlaient de tout ça entre elles et, moi, j’écoutais, je buvais leurs paroles. Elles parlaient de ...
    ... choses que je ne me permettais pas, mais j’étais friande de leurs conversations.
    
    Pourtant, j’étais simplement une collègue, car mes tenues vestimentaires (socquettes, jupe au mollet et pull), mon absence de maquillage, mes lunettes et ma queue de cheval permanente montraient que nous n’appartenions pas au même monde.
    
    Mais j’étais très bonne élève. Elles entretenaient donc un minimum de contact avec moi afin de pouvoir me demander de les aider. J’en étais consciente, mais je m’en contentais, car sinon mes rapports humains auraient été proches de 0.
    
    Je n’intéressais pas du tout les garçons, jusqu’au jour où, à la bibliothèque, un garçon de ma classe vint me demander des renseignements sur le cours de biochimie. Je lui ai bien entendu tout expliqué pendant une bonne heure avant qu’il ne me laisse en me disant merci avec un grand sourire. Après qu’il soit parti, je me suis sentie toute chose. J’étais rouge et j’avais chaud. C’est la première fois que je passais autant de temps avec un garçon. En repensant à son sourire, cela me mettait en émoi : mon sexe s’humidifiait et mes seins me démangeaient. Cela me faisait la même chose que sous la douche quand je me savonnais le sexe.
    
    Ce garçon s’appelait Thomas. Je le connaissais de nom, car les copines de la classe parlaient souvent de lui en se faisant des clins d’yeux sous couvert de petits rires. Je ne savais pas pourquoi, mais sûrement un de leurs petits secrets.
    
    La période des examens arrivait et j’étais donc bien prise ...
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