TOC 01 C'ETAIT UN BRANLEUR
Datte: 13/02/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
... et la repassais sur mon gland. Je devine que vous devez être choqué par ce que je vous raconte là mais, je vous jure que je n'y étais pour rien. Ensuite il a pris ma queue plus profond dans sa bouche, il faisait ça bien le mec je ne sentais pas les dents. Ce n'était que douceur, caresse humide et quand son nez s'écrasait contre mon ventre et qu'il me massait les couilles, c'était le pied.
Je sais, je sais, j'aurais du lui dire d'arrêter, j'aurais du le repousser. Je sais ça vous choque et j'ai presque honte de vous raconter tout ça mais, c'est comme ça que ça s'est passé. Et je vous jure que je n'y était pour rien. J'ai laissé faire c'est tout mais vraiment laissé faire, je n'ai pas vraiment participé. Il a abusé de moi en fait.
Je le regardais faire, ma queue entrait rapidement bien au fond de sa gorge, bien au fond et en même temps son visage s'écrasait sur mon ventre. Il passait ses mains derrière mes fesses et me tirait vers lui au moment ou il avalait ma queue. J'étais impressionné de voir ça, ma queue pourtant de belle taille entrait et ressortait avec fluidité, je sentais mon gland au fond de sa gorge. J'appuyais alors sur sa tête doucement, puis plus fort, puis finalement de toutes mes forces je tirais sa tête vers moi en balançant mon bassin en avant. Il faisait des petit bruits bizarres mais il encaissait bien le mec.
Tout en me suçant la queue je remarquais qu'il se branlait. Pas de doute c'est un branleur, je me disais qu'il faudrait sévir. En attendant ...
... il était là, lâchement en train d'abuser de moi, et j'étais toujours pétrifié, obligé de me laisser faire.
Ses mouvements devenaient plus rapide, quand il retirait sa tête il me masturbait la queue, il insistait fermement sur mon gland, je tremblais de plaisir, pardon je voulais dire, je frissonnais de honte, je me sentais mal, c'était bon, tellement bon. On ne m'avait jamais fait ça.
Et là ça a été le sommet de la honte, il s'est levé, s'est retourné, s'est penché en avant et il m'a dit.
Toc : Cule mois !
Je n'avais plus le choix, j'étais bien obligé de faire ce qu'il me disait, j'y était contraint. Il y avait ses fesses devant moi, un rayon de soleil les éclairait, il continuait à se masturber. J'étais furieux de voir ça ou je ne sais pas, je ne sais plus.
Je l'ai enculé. Il a gueulé. J'y suis allé direct, avec force, avec virilité, je suis pas du genre efféminé moi, lui non plus remarquez. Et il a pris ma queue dans son cul avec la même facilité qu'il l'avait prise dans la gorge. Je n'avais plus le choix, j'enfonçais ma queue dans son cul puis la retirais, je l'enfonçais de nouveau, la retirais puis je ne contrôlais plus rien, il avait gagné, il m'avait contraint maintenant plus personne ne contrôlait la situation. Je me lâchais sur son cul. Je le tirais vers moi, avançais mon bassin de toutes mes forces, mon ventre claquait contre ses fesses, il gémissait. Il ne se masturbait plus. Je prenais sa queue dans ma main, il avait joui, ça me faisait tout bizarre ...