Ivan à la conquête de l'Ouest - Histoires de Sexe

Ivan à la conquête de l'Ouest

Je m’appelle Ivan, j’ai la trentaine sportive, je viens de Russie, je suis en France afin de me perfectionner pour des raisons professionnelles. Cela fait deux mois que je suis ici et je commence à souffrir du manque de chaleur humaine. Dans l’entreprise où je fais mon stage, les femmes sont peu sensibles à mon charme slave et à mon accent si particulier. Par contre, j’ai découvert il y a quelques jours que j’avais une charmante voisine, la quarantaine, rousse, avec une poitrine comme je les aime, opulente. Je cherchais une occasion de l’aborder quand le hasard fit bien les choses. Un soir en rentrant chez moi, je la découvris aux prises avec sa boîte aux lettres récalcitrante. Je lui proposais immédiatement mon aide, trop heureux de ce moment opportun.

— Bonjour, je m’appelle Ivan, j’habite l’immeuble depuis quelques mois, puis-je vous aider ?

Elle me jeta un regard reconnaissant et me mis dans les mains les différentes choses qui l’encombraient. Elle put aisément retirer le courrier de sa boîte. Elle se tourna de nouveau vers moi et me fit un sourire qui me fit fondre, pour me remercier.

— Merci, me dit-elle, vous m’avez été d’un grand secours, mais je vais abuser, ça ne vous dérangerait pas de porter mes courses jusque chez moi, j’habite au 2e.

Trop content de l’aubaine, j’acceptais.

— Pas de problème, je suis au 2e aussi.
— Ok, dit-elle, allons-y.

Elle me précéda dans l’escalier, j’avais une vue imprenable sur son derrière rond et tentant. Elle ...

... portait une jupe, je pouvais voir ses jambes gainées couleur chair, sa jupe ample et courte à la fois dansait sur ses hanches, je sentis une bouffée de chaleur envahir mon bas-ventre.

Durant l’ascension jusqu’à sa porte mon esprit gambergeait allégrement ; qu’il serait agréable de passer un moment avec elle, j’avais très envie de découvrir ce qu’il y avait sous ce joli morceau de tissu, de passer ma main sous sa jupe, partir de la cheville pour remonter jusqu’à la lisière de ses bas… et plus haut encore jusqu’à la fourche de ses jambes.

Mais nous étions déjà arrivés devant sa porte. Elle glissa la clé dans la serrure, brusquement elle se tourna vers moi un peu fébrile :

— Voulez-vous prendre un verre avec moi pour vous remercier de votre aide, si vous avez le temps bien-sûr.

Une légère rougeur avait envahi son visage.

— Désolée, je ne me suis pas présentée, je m’appelle Marielle, enchantée, dit-elle en riant.
— Et moi Ivan, enchanté, répondis-je déjà sous le charme, oui j’accepte avec plaisir.

Elle me fit entrer dans son appartement, il avait la même configuration que le mien, mais aménagé avec beaucoup de goût. Des meubles simples aux couleurs chaudes, une atmosphère très féminine ; pas de trace de présence masculine.

Un grand canapé trônait au milieu de la pièce, elle me proposa de m’y installer pendant qu’elle se dirigeait vers le coin cuisine. Au passage elle me débarrassa des affaires que je tenais toujours en main.

— Installez-vous, me dit-elle, je ...