Dani-elle Chapitre 04 - Histoires de Sexe

Dani-elle Chapitre 04

... humide. Sa bouche se dépose sur la mienne, je ferme les yeux. Je sens sa queue dure sur mon ventre. Ma queue ne semble rien avoir perdu de sa dureté et appuie fermement sur le ventre de Clovis. Nos mains explorent nos corps. Puis je sens un coup. Je réalise que Clovis vient de se faire pénétrer. Il me serre dans ses bras et écarte un peu sa tête pour me regarder. Il se fait pilonner le cul par l'homme noir. Je vois le visage de Clovis changer très rapidement et je réalise qu'il est très excité. Nos queues frottent contre nos ventres humides et glissants. Je le caresse en l'observant. Je sens ma propre excitation croitre à nouveau.

Pendant un instant, j'imagine que Jessica est couchée sur moi et qu'elle se fait pénétrer par l'homme noir. Je ferme mes yeux pour réaliser que cela m'excite beaucoup plus que je voudrais l'avouer. Quand j'ouvre les yeux, c'est pour prendre à nouveau la queue d'un des hommes. J'arrive à le sucer tout en maintenant le regard de Clovis. Il semble au septième ciel. Le noir ne cesse de le pilonner violemment. L'énergie de ses coups de boutoir se transfère dans le corps de Clovis et se diffuse dans le mien. Je prends la tête de Clovis qui s'approche de moi. Il me chuchote à l'oreille entre deux soupirs.

— Tu aimerais être à ma place ma chérie, n'est-ce pas ?

Je ne sais pas quoi lui répondre. Il semble tellement aimer se faire pénétrer. Je fantasme d'être à sa place, mais je ne suis pas prêt à l'avouer. Je lui réponds avec un petit baiser qui ...

... le fait chavirer. Je vois ses yeux se révulser puis il se met à éjaculer répandant sa semence sur mon ventre. L'homme à qui j'offre une fellation dépose quelques gouttes supplémentaires de sperme sur mes lèvres et il s'écarte. L'homme noir continu pendant quelques secondes de plus à pilonner Clovis qui s'affale complètement sur moi à bout de souffle.

Je sens les hommes s'écarter de nous, mais Clovis reste couché sur moi. Il me réchauffe. Sa présence sur moi est réconfortante. L'homme poilu s'approche de nous. Je retourne la tête pour le regarder. Il a quelques dollars dans sa main. Clovis tourne aussi son visage dans la direction de l'homme et il se soulève pour s'appuyer sur ses coudes. L'homme tend l'argent vers moi.

— Va nous chercher des bouteilles d'eau.

Son ton est directif, dur. Il garde le bras tendu vers moi avec l'argent bien en évidence. Clovis se glisse à mon côté. L'homme me saisit par le bras et me force à me lever. Il me serre fermement le bras et me guide vers la porte. Je suis forcé de le suivre. Il me fait mal. Sans ralentir, il ouvre la porte et me pousse à l'extérieur de ma suite tout en lançant l'argent au sol.

— Ne nous fais pas attendre, tantouze !

XVI

Je ne sais pas si c'est le choc de me retrouver à moitié nu avec seulement quelques sous-vêtements féminins pour me couvrir, le fait que je suis couvert de sperme, de salive et de sueur ou si c'est la froideur du corridor, mais toujours est-il que je grelotte devant la porte. Je regarde ...