Monsieur Paul
Datte: 12/02/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Clar, Source: Hds
... en levrette. Je sens son sexe buter contre le fond de mon vagin. Il continue de me besogner. « Oh, comme tu es bonne. Tu aimes le sexe, c’est fou. On ne le dirait pas à te voir. On te donnerait le bon dieu sans confession tellement tu fais sérieuse et respectable. Dis moi que tu aimes ma petite pute, dis moi que je te défonce bien, que tu prends ton pied ». Je m’entends répondre « oui j’aime ça, tu me défonces, tu me prends comme une pute, j’aime ton sexe, j’en veux encore, je veux jouir ». Je m’étonne à dire cela moi qui suis habituellement assez prude. Mais je suis terriblement excitée. Je jouis bruyamment par deux fois sans qu’il ne ralentisse le rythme. Puis il s’allonge sur moi, en 69 me léchant, faisant pénétrer alternativement sa langue dans mon vagin et mon anus tandis que ses doigts excitent mon clitoris jusqu’à ce que je jouisse une nouvelle fois en hurlant mon plaisir pendant qu’il m’inonde la bouche en déchargeant à longues giclées. Je reprends doucement ma respiration. Je enfin rassasiée. Je regarde ma montre : elle indique 23 heures. Nous avions baisé, il n’y a pas d’autres mots pendant deux heures et demi et j’ai joui quatre fois. Nous buvons un verre de jus de fruit frais. Sa verge se redresse. Il me fait s’assoir à califourchon sur lui et m’empaler sur sa verge. « Vas-y fais nous jouir encore » me dit-il. Le plaisir monte lentement, je le sens venir du fond de mon ventre, irradiant tout mon corps. Au moment où la jouissance déferle, il me plante un doigt ...
... dans l’anus. Je le sens se crisper et il jouit à son tour. Nos langues s’unissent dans un long baiser.
Je me relève, pantelante, me rhabille et prend congé. Il est 1 heure du matin quand je rentre à la maison. Je prends une douche, me couche, envoie un long message à mon mari pour lui raconter la soirée. Je sais qu’il va adorer.
Le lendemain, je suis percluse de courbatures. Certains patients me font remarquer que j’ai les yeux cernés et l’air fatigué. Le soir, je repasse chez Paul. Il m’attend, nu sous sa robe de chambre, dont les pans desserrés laissent voir son sexe bandé. Tandis que je refais son pansement, il me débarrasse de mon polo et de mon soutien-gorge. A la fin du soin, j’enlève fébrilement mon pantalon et ma culotte. Mon sexe est à nouveau trempé. Nous refaisons l’amour, avec beaucoup de tendresse. Son sexe est gros, plus gros que la moyenne, et il est très endurant. Ses coups de rein, amples et profonds ont bientôt raison de moi. Il ne me quitte pas des yeux au moment où l’orgasme me fait hurler. Il accélère ensuite le rythme, se retire et éjacule sur mon ventre.
Monsieur Paul est d’une constitution robuste et les soins prirent bientôt fin.
Un jour, je reçus un bouquet de roses rouges, accompagné d’un petit bristol signé de sa main où était écrit « viens quand tu veux ».
Alors, lorsque je ressens des envies, je passe un coup de téléphone à Monsieur Paul et s’il est là, s’il est disponible, je mets une jupe, des bas, une chemise et je vais le ...