1. L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (4)


    Datte: 14/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... beaux mâles nus…
    
    La vision qu’aurait pu en avoir un observateur extérieur devait être idyllique…
    
    Une main sur mes fesses, il me mit deux doigts devant ma bouche que je m’empressai de mordiller.
    
    Il fouilla littéralement ma bouche pendant que de son autre main il commençait à s’intéresser à ma rondelle…
    
    Bientôt je sentis un doigt inquisiteur fureter dans mon intimité anale.
    
    Je m’ouvris sans complexe devant cette intrusion et le doigt me pénétra avec facilité.
    
    Les deux mains de Jonathan sur les seins, les doigts de David dans ma bouche et un autre doigt dans mon petit trou, je me sentis comblée et commençai à gémir sourdement…
    
    Quand Jonathan força le passage entre mes cuisses et pénétra ma vulve avec ses doigts, un orgasme destructeur s’empara de mon être !
    
    Je me mis à jouir comme une salope…je ne pus retenir des cris de jouissance, mon dieu que c’était bon cette jouissance qui fait crier (je ne pus m’empêcher de penser à ma lecture de " l’amant " de Marguerite Duras.)
    
    Alors les deux me firent me coucher sur un banc de musculation, et pendant que Jonathan s’introduisit entre mes cuisses, David me présenta son sexe en érection devant mon visage.
    
    Je pris très vite cette belle verge entre mes mains, commençai à la branler et me mis à la sucer.
    
    Pendant ce temps Jonathan m’écarta doucement les lèvres et caressant mes nymphes, moites de jouissance, il introduisit son mandrin dans mon sexe avide.
    
    Je poussai un plainte déchirante…inquiet Jonathan me ...
    ... demanda :
    
    — ça va Rebecca ??
    
    — Ouuiiiii, continue… tu me fais trop de bien, vas y baise moi, fais moi jouir encore !!!!
    
    Alors commença une séance de baise comme je n’en avais jamais connu avec mon crétin de mari…
    
    Jonathan me pilonna comme les canons allemands sur Verdun, le premier jour de l’offensive, un 21 février 1916…
    
    Son offensive fut néanmoins plus pacifique, mais non moins violente…
    
    Tout mon corps était secoué par ses assauts frénétiques, j’en avais presque du mal à garder le sexe de David dans ma bouche.
    
    Ce que je ressentais était au-delà du réel, mon sexe était investi par ce membre puissant, ses pulsations et ses va–et-viens me tiraient à chaque fois de gémissements étouffés par le chibre de David dans mon gosier…
    
    Ces deux sexes qui avaient investi mon corps de femelle, en manque de jouissance, me procuraient des plaisirs au delà du concevable…
    
    J’étais divisée en deux parties…ma partie charnelle encaissait les mouvements de la chair et y prenait plaisir…et d’un autre coté, je me sentais partir vers des rivages lointains de plaisirs exquis…la petite mort…je comprenais à présent ce que cela voulait dire.
    
    A un moment la tension fut trop forte…je ressentis les pulsations de la verge de Jonathan, qui expulsait son sperme en moi…cela me déclencha un orgasme foudroyant qui me laissa pantelante…
    
    Je hurlais ma jouissance sans aucune pudeur, ayant expulsé la verge de David hors de ma bouche.
    
    Celui-ci excité par la situation, se mit à gicler ...