1. Double vie... ou plus 2/7 Les liens familiaux se resserrent


    Datte: 06/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... mère, mais ne me dis pas que passant toutes ces semaines loin de chez toi, tu n'as pas mis quelques coups de canifs dans ton contrat de mariage. Je te connais assez et rappelle-toi quand tu étais avec moi...
    
    C'est du passé ça.
    
    Ne me prends pas pour une conne ! »
    
    Le Martini a libéré sa parole et dans ces cas-là on ne l'arrête pas. C'est vrai qu'avant de connaître sa sœur aînée, c'est avec elle que j'étais « sorti ». Elle était très « chaude » et précoce, mais elle m'avait trouvé trop vieux et était tombée amoureuse d'un autre garçon avant de rencontrer celui qui serait le père de son fils. J'étais amoureux d'elle et ne m'en étais finalement pas complètement remis. C'est sûrement pour cela que je m'étais ensuite tourné vers sa sœur. Plus tard, malgré quelques relances quand elle était esseulée, je m'étais gardé de reprendre quoi que ce soit avec elle, même s'il n'aurait pas fallu grand chose pour que je succombe.
    
    « Rassure-toi, continue-t-elle, je n'irai rien raconter à ma sœur. De toutes façons je m'en fous. C'est ta vie. Je te dirais même mieux, si c'est le cas, grand bien te fasse. On sait tous les deux qu'il faut en profiter quand c'est possible, après tu te retrouves comme une vieille conne comme moi, avec un gosse sur les bras et aucun mec entre.
    
    Tu ne fais pas abstinence quand même ?
    
    A ton avis ? Comment veux-tu que je fasse ? Les trois quart du temps je dors dans la journée et le soir je m'occupe de Jérémy. Il n'y a pas beaucoup de place pour s'éclater ...
    ... et puis à mon âge...
    
    Je te signale que tu es encore jeune. Tu n'as même pas trente ans et franchement tu es superbe ! Je trouve même que tu es mieux qu'avant.
    
    Petit coquin va !
    
    Euh ! Pardonne-moi. Je sais bien que tu ne veux pas que je te parle comme-ça mais franchement, tu es bandante !
    
    Tu sais, j'ai évolué tout de même depuis le temps. Je te rappelle que quand on était ensemble, enfin, quand on « s'amusaient » ensemble, tu avais deux fois mon âge. Je te trouvais vieux et je savais que tu étais amoureux de moi, alors j'en profitais. Tu voulais attendre mes quinze ans pour me faire l'amour, alors j'ai trouvé ailleurs. C'est vrai que maintenant, la différence entre nous est moindre. Après tout, quinze ans, ce n'est pas beaucoup ! »
    
    Je suis un peu étonné de son discours. Quand elle boit un peu, Nelly dit n'importe quoi. Bien sûr, quelque part, je l'aime toujours et ne l'ai jamais oubliée. Elle porte sur elle un érotisme puissant, mais aujourd'hui je suis marié avec sa sœur.
    
    « Attend, me dit-elle. Il faut que j'aille aux toilettes. »
    
    Son départ me permet de me reprendre un peu, même si le bruit de sa mixtion qui me parvient, a tendance à m'exciter. Je nous ressers un verre en me disant que l'alcool lui permettra de continuer à s'épancher.
    
    Quand elle réapparaît, je suis sous le choc. Nelly s'est déshabillée et se présente nue devant moi. Elle prend la pose. Les mains derrière la tête, une jambe pliée, comme les pin-up des années 60.
    
    Elle est splendide. ...
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