Bien sucée par le fils de mon mari. - Histoires de Sexe

Bien sucée par le fils de mon mari.

... que je sente lá chaleur de lá bite, l'odeur forte, lá goo. J'ai tenu lá base, juste pour soulever lá bite de mon beau-fils. Je provoquais, marchais mes lèvres sur le gland, enveloppé d'un baiser sans langue, sentais lá texture charnue et douce de lá tête pourpre. J'ai fait lá même chose quand j'ai conquis Ivan.

Je l'ai pris et je l'ai regardé en face avec ce rire de méchante chienne qu'ils adorent ces heures. Mieux.... De lá fille du programme.

Je crache....

Elle est tombée sur le dessus et a couru jusqu'à mes doigts. Tiago respirait fort, même en clignant des yeux. Ok, comme je le voulais, je suis tombée plus que folle, je suis tombée de má bouche. J'ai étiré lá langue et léché le bout, me retournant, j'ai goûté le sucrées, le miel. Mieux que celle de papa. J'ai ouvert lá bouche et j'ai avalé lá tige du garçon. Je l'ai léché comme tous les hommes l'aiment....

Je l'ai fait pour conquérir le père, maintenant c'était le fils.

J'ai beaucoup sucé et tourné lá langue, j'ai travaillé le sac dans un mélange de douleur et de caresses. Le bâton devenait de plus en plus chaud, parfois je ne jouais qu'à lá tête. Je pouvais voir qu'il viendrait, je l'ai avalé et j'ai senti lá tige palpiter. Le sperme est arrivé, me mouillant lá langue, lá joue. J'ai avalé un peu, mais j'ai laissé sortir le reste, j'ai couru le long de lá tige, le couilles, mouillé mes doigts.

Une goo blanche translucide nous reliait encore de lá bite à lá bouche. J'entendais encore les derniers ...

... gémissements du garçon. Il a une respiration sifflante, tremblant encore, une dernière goutte sortit du haut en descendant le long de l'verge.... Je ne pouvais pas laisser faire ! J'ai sucé lá canne en faisant une dernière affection, affection d'une belle-mère, presque une mère.

Quand je me suis levé, on s'est regardés. J'ai ri avec un visage taché et il ressemblait à un petit ami. Il m'a essuyé le visage et m'a pris dans un baiser. Je l'ai laissé me lécher, goûter à son propre goût, goûter au bâton. Je pense que c'était sa première fois.

Un baiser sale, un baiser baveux jusqu'à ce qu'il perde son souffle.

J'étais fier, satisfait de ce beau fils. J'ai eu l'idée de l'emmener dans lá salle des plaisirs qu'Ivan et moi avions faite, mais je pensais que ce n'était pas le moment. Tiago avait besoin d'une autre approche plus douce, du moins pour l'instant.

- Et maintenant, quoi ?

- Maintenant ? Tes parents ne t'ont-ils pas appris à être un garçon instruit, à redonner quand quelqu'un te donne de l'affection ?

Sa main est passée entre mes cuisses. Elle marchait sans demander lá permission, sans caresser, était directe, touchait mes poils pubiens. Sentais má chaleur étouffée, très humide, les doigts marchaient entre mes lèvres mouillées de má grotte. Tiago avait encore beaucoup à apprendre.

- Ce sera mieux là-bas.

- Quoi ? Où ça ?

- Sur lá table, ça vient.

J'ai montré du doigt lá table de billard. J'avais déjà baisé avec Ivan et quelques amis là-bas, ils m'ont ...