Cédric 03 - Histoires de Sexe

Cédric 03

... la chatte de Solange pourra le calmer. Mais il veut savourer ce moment et c’est sans précipitation, qu’avec sa queue, il glisse entre les cuisses humides. Tantôt il fouille son sillon jusqu’à heurter son bouton sensible, tantôt son dard percute la base des fesses de la femme en émoi.

Les sécrétions féminines enduisent délicieusement sa queue et apaisent la tension qui l’habite comme un doux onguent. D’un mouvement de hanche, Cédric cale son gland entre les lèvres de sa conquête et pousse lentement pour l’embrocher. Instinctivement Solange bascule le bassin pour accueillir le pal qui se présente à l’entrée de son antre. Le nœud viril glisse sur le corail délicat et pénètre dans le goulet soyeux, mais la tête de son mandrin semble buter dans le fourreau encore contracté des violents orgasmes précédents. Enchanté de sentir sa queue enserrée dans cette gaine étroite, Cédric force le passage d’un puissant coup de reins qui arrache un râle profond à Solange. Elle se suspend davantage au cou de son amant, heureuse de recevoir un assaut si fougueux. Au paroxysme de son désir, le jeune homme saisit sa prise à bras le corps par la taille, la soulève et l’empale plus profondément sur son ardente virilité. L’ancienne du Lycée des Sœurs de la Grâce s’agrippe de plus belle à son puissant étalon et passe ses jambes de part et d’autre de ses hanches pour l’emprisonner entre ses cuisses. Elle halète de bonheur. Le jeune homme la transperce de sa lance. Elle sent ses muqueuses refoulées ...

... sous la poussée vigoureuse, elle geint de félicité sous l’envahissement de son ventre par cette divine colonne de chair. Cédric alterne savamment les mouvements de bassin pour pénétrer sa conquête en profondeur et les descentes du corps de Solange pour mieux l’embrocher.

— Vous êtes bien serrée, Madame Granger, c’est un délice de forcer votre chatte en feu. Vous sentez comme je vous prends bien. Ma queue dans votre fourreau, c’est vraiment trop bon !

Le jeune homme ponctue ses phrases de solides coups de reins qui arrachent des onomatopées de ravissement à Solange. Elle s’accroche davantage aux épaules de son amant pour profiter au maximum de ses coups de boutoir.

Mais Cédric en veut plus. Il plaque sa prise contre la desserte et dans un dernier assaut enfile toute la longueur de sa hampe. L’estocade dans le ventre de Solange, décuplée par le choc du meuble dans ses reins, lui arrache un cri d’extase. Son bouton d’amour, comprimé par le pubis de son pourfendeur, ranime les ondes de la jouissance. Cédric ondule du bassin de façon imperceptible et démoniaque. Il s’enfonce profondément dans le conduit de sa victime et broie ses nymphes écumantes. Son mandrin épouse chaque parcelle du fourreau en feu et déclenche de merveilleuses vagues de plaisir qui font gémir Solange de plus en plus fort.

— Vous êtes bonne, Madame Granger, et tellement serrée ! C’est un délice de vous faire l’amour et en plus, vous aimez vous faire fourrer je vois, chuchote sournoisement Cédric.
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