1. Mon petit boudin


    Datte: 05/12/2018, Catégories: Première fois Auteur: pompier37, Source: xHamster

    ... doute déçu de ma passivité apparente, elle se décida à me faire un signe de la tête semblant me dire « on y retourne ». J’étais sidéré, alors qu’il était si difficile de passer la main au-dessus du genou des pimbêches que je draguais habituellement, là, je me faisais draguer comme une pute. Il fallait prendre une décision, si je me dégonflais je passais pour un imbécile à mes propres yeux. La tentation était trop forte, j’acquiesçais.
    
    Elle se leva la première ce qui me permis de la voir sur pieds. Des cheveux courts De grosses jambes, des hanches confortables dans un maillot de bains une pièce, elle n’était pas grosse, plutôt une adolescente pas encore dégrossit, une solide flamande comme les chantait J.Brel. Il est probable qu’elle devint plus tard une mère de famille tout à fait convenable. Je la suivais à quelques mètres, nous dirigeant vers le ponton désaffecté. Quand elle eut de l’eau jusqu’au cou, elle m’attendit et s’agrippa à mes épaules, dans l’eau, elle était légère, je la portais ainsi jusqu’au-dessous du ponton, sous mes pieds il y avait par-ci par-là des blocs de béton qui émergeaient du sable, la hauteur d’eau était idéale, lui arrivant aux épaules. Il n’y avait presque personne à l’endroit choisi et à part quelques nageurs qui passaient à une dizaine de mètres de là, nous étions tranquilles. Je l’adossais à un pilier du ponton d’environ 30 centimètres de large, face à la mer. De la plage on ne pouvait pas nous voir et les autres baigneurs ne pouvaient ...
    ... qu’apercevoir les têtes de deux amoureux qui se bécotaient.
    
    Ayant déjà constaté combien j’étais balourd, elle descendit d’autorité les bretelles de son maillot de bain. Tout en l’embrassant à pleine bouche, je triturais ses seins comme un affamé. Elle avait ses bras autour de mon cou et ses jambes autour de ma taille, son cul frottait sur ma queue. Celle-ci manifesta très vite son indépendance triomphante.
    
    Laissant retomber ses jambes, elle attrapa mon sexe tout raide et le sorti de mon maillot. Cette fois, ça y est, j’étais au pied du mur, j’allais perdre mon pucelage.
    
    Un peu paniqué, très excité, je sentais le sang qui me battait les tempes. J’écartais l’élastique de son maillot et essayais d’introduire ma queue dans son fondement, cela n’était pas facile, le gland au bord de sa grotte, mes doigts me gênaient. Ma flamande me donna alors un coup de main en tirant très fort sur l’élastique. Je ne réussi qu’à introduire une petite partie de ma queue mais la gêne était trop forte, après plusieurs tentatives aussi nulles, je commençais à débander. (Bien plus tard, je me suis demandé si c’était l’élastique de son maillot ou son pucelage qui m’avait bloqué.)
    
    Très mal à l’aise, je sentais venir l’échec. Heureusement, mon égérie avait de la ressource, Elle descendit complètement son maillot jusqu’au genoux, replia ses jambes entre nos deux poitrines présentant ainsi sa chatte à portée de ma queue. Cette fois, je la pénétrais sans difficulté. Le contraste entre l’eau froide et ...