La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1001)
Datte: 05/12/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... tout organisé accrocha deux pinces mordantes sur les tétons de chaque femelle qui étaient déjà munies de bijoux en strass enserrant le mamelon et recouvrant l’auréole plus foncée. Ces deux pinces étaient reliées à une petite coupelle creuse et bombée qui leur tombait sur le ventre juste sous le nombril et qui contenait un certain nombre de petits papiers bleus pliés en quatre. Chacune des quatre femelles se vit affecter une zone dans la salle et un certain nombre de tables à parcourir, avec pour consigne de n’oublier aucun Invité et surtout de se laisser tripoter par les mains baladeuses qui voudraient venir se perdre dans leur courbes et leurs orifices, voire quand bien même ce serait bien plus que des doigts égarés. Monsieur le Marquis d’Evans avait personnellement tenu à ce que Ses quatre femelles qu’IL avait sélectionnées pour la soirée soient mêlées à un moment de la nuitée à la masse de ses Invités, pour qu’elles évitent de se croire toujours privilégiées de par leur statut de chiennes enfermées dans un cachot et non au chenil comme la meute du Cheptel et qu’elles comprennent bien une fois de plus que leur condition d’esclave-soumise MDE les contraignait à ne rechercher que la satisfaction du Maître Vénéré, avec une obéissance parfaite à Ses moindres exigences dans une abnégation totale, dont elles devaient tirer la source de leur bonheur de dominées librement asservies.
Sur une autre partie de la scène, les deux écuyères faisaient une démonstration beaucoup plus en ...
... souplesse que leurs deux homologues masculins, mais qui n’en était pas rendue plus facile pour les deux autres bipèdes qui devaient imiter la marche gracieuse de l’animal en remontant l’une après l’autre leurs jambes, genou plié jusqu’à la taille à chaque pas. Munies de petites cravaches courtes et raides, très efficacement, elles rectifiaient la position d’une patte, pas assez remontée ou redescendue trop tôt, guidant « à la baguette », comme on pourrait le dire d’un chef d’orchestre, les pas cadencés des esclaves équins. Ce que les quatre « pony-humains » trop occupés à essayer de s’appliquer pour faire honneur au Maître auquel ils appartenaient n’avaient pas remarqué, c’est qu’au fond de la scène, un soumis était chargé de comptabiliser les erreurs commises par chaque spécimen de foire, incrémentant à la main les scores négatifs des esclaves qui n’avaient pas tardé à peiner avec la fatigue due à un effort physique constant en permanente concentration.
Le gong retentit et une voix annonça que les deux chevaux portant les numéros 2 et 3 étaient les perdants de l’épreuve. Comme, ils n’avaient pas été jugés assez bons dans leur prestation, ils ne pouvaient décemment pas conserver l’apparence de « pony-boys », une caractéristique dont ils n’avaient pas su se rendre dignes. Ils furent conduits sur le devant de la scène et déshabillés aussi sec sans aucun ménagement, avant d’être jetés à terre tels des lopes déchues de tout droit autre que de celui de servir de vide-couilles ...