Sylviane, pute à en devenir. (9)
Datte: 04/12/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... folle ? Lui dit Amandine.
— Non, j’obéis à Monsieur. Lui répond Aurélie en me désignant d’un coup de tête.
Elle me regarde et aperçois sa mère. Pétrifiée, elle n’ose pas bouger. Je m’avance vers elle, lentement, ma queue balançant entre mes cuisses.
— Mais vous êtes malade, crie-t-elle en s’avançant vers sa mère telle une furie.
Je l’arrête dans son élan en la retenant par les cheveux. Je la gifle sur les deux joues. Stoppée dans son élan, elle m’injurie, m’insulte, essaye même de me frapper. D’un geste rapide de ma jambe droite, je la mets au sol. Toujours retenue par les cheveux, je lui crache à la figure.
— Arrête-toi immédiatement. Si j’ai accepté ton retour c’est pour que tu ne fasses pas la pute dans un bar minable de Toulon. Alors, stoppe et mets-toi à genoux.
Saisie par ma conduite, elle se met à genoux en minaudant. Mon sexe est à quelques centimètres de son visage. Je lui demande de se mettre en tenue, à poil.
— Jamais, je ne suis pas comme ces deux putes...
Nouvelle gifle, mais appuyée celle-là. Je réitère ma demande. Les larmes aux yeux et les mains tremblantes elle ôte son blouson sans forme et le tend à sa sœur.
— Allez, on t’attend, plus vite. Mets-y un peu du tien.
Elle enlève son pull qui n’a plus de forme. Son soutien-gorge est tout sauf attrayant. Un vulgaire bout de tissus avec des baleines et des sangles déformées. Mais ce qui se cache dedans est plus appétissant. Deux grosses mamelles aux tétons énormes. Pour son jean ...
... crado, elle se contorsionne pour faire passer une, puis deux jambes. Son slip ressemble plus à ceux que portent les petites filles. Je lui demande de me le donner. Il a des traces, preuve que son hygiène intime n’est pas son fort. Je le prends entre deux doigts.
— Hé bé, il était temps que l’on te récupère. Ce n’est pas en pute que tu aurais fini, mais en vide couilles des SDF de Toulon. Allez, lève-toi et arrête de pleurer. Elle se lève et je l’inspecte. Elle ne sent pas la rose, loin de là. Je demande à Aurélie de descendre les affaires de sa sœur au local poubelle. Elle le fait sans rechigner et descend cet amas de frusques. Je ne lui ai rien dit, mais dans la confusion, elle y est descendue à poil. Ce qui me fait sourire. Amandine semble être la souillon décrite par sa mère la chatte est une forêt vierge, tout comme ses aisselles. Je lui tire ses poils de son sexe.
— Aïe, tu me fais mal, CONNARD...
Je lui administre un allez-retour violent. Elle se fige est me regarde avec dégout. Je lui pince les tétons. Je lui dis de se calmer.
— Ecoute-moi bien, je n’aime pas me répéter. Tu m’appelleras Monsieur, tu n’as plus le droit de sortir d’ici sans mon autorisation ou celle de ta mère. Tes sorties se feront toujours accompagner de ta sœur, de ta mère ou de moi. On va te rendre une apparence humaine, parce que là, tu ressembles plus à une serpillière qu’a la fille que j’ai pu voir sur les photos. Pour ce qui est de la vie ici, c’est à poil. Enfin, je veux dire sans poil. ...