1. L’enseignante nymphomane


    Datte: 04/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe Première fois Anal Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    Ce matin, dans notre classe de terminale, nous avons eu une nouvelle prof de français. Elle nous a écrit son nom au tableau, mais je me souviens seulement de son prénom : Julie. Elle vient juste de quitter l’ESPÉ, et c’est sa première affectation.
    
    Elle est petite, blonde, et très jolie. Elle nous a lu des textes d’Aragon et d’Apollinaire qui sont pour le moins… spéciaux. Par exemple, Le con d’Irène, poème de Louis Aragon.
    
    – Madame, a demandé Paul, Irène était une fille qui vivait avec un con ?
    
    – Dans ce contexte, non, ce n’est pas une personne stupide. C’est son sexe, a-t-elle répondu en indiquant le sien du doigt.
    
    – Ah, d’accord…
    
    Pour dire cela, elle s’est assise sur le bord de la table dudit Paul, sur sa jambe, et comme elle était vêtue d’une robe courte et légère – nous sommes fin mai, et le beau temps présente encore l’avantage de raccourcir les tissus qui recouvrent les jambes féminines.
    
    Paul était troublé, parce qu’il avait la petite culotte de la prof juste sous ses yeux. On n’aurait pas pu imaginer de provocation plus franche, d’autant que quelques poils dépassaient sur les côtés. J’étais à côté, et c’était magnifique. Une véritable invitation à la tripoter.
    
    – Parmi vous, les garçons, lesquels sont puceaux ? Allez, n’ayez pas peur ! Il n’y a pas de honte à débuter.
    
    Paul a levé le doigt, un peu gêné quand même d’avouer son pucelage devant toute la classe. Il rougissait comme une tomate en cette saison. C’est un gars robuste, simple et franc ...
    ... du collier, pas très malin, mais fidèle en amitié, bosseur et toujours prêt à rendre service sans rien attendre en retour. Personne n’a eu le cœur de se moquer de lui, pas même la belle Clem, la grande, en taille et en gueule, toujours prête à se payer la tête des autres, en particulier des garçons qu’elle n’a pas encore pu accrocher à son tableau de chasse, et Paul en faisait bien-sûr partie puisqu’il est puceau. Enfin, il l’était jusqu’à ce matin.
    
    – Alors, jeune homme, tu n’as jamais vu ce qu’il y a sous la culotte d’une fille ?
    
    – Pas en vrai, a-t-il avoué.
    
    – Tu veux regarder ? Allez, retire-ma moi !
    
    Paul a obéi et la belle Julie nous a montré sa chatte, à tous. Nous étions quand même estomaqués par tant d’impudeur de la part d’une enseignante. Clem, d’accord, elle ne craint pas de faire la même chose pendant les intercours : c’est sa manière de chahuter. Mais avec une prof, ce n’est pas pareil.
    
    Paul a été invité à enlever la culotte lui-même. Je crois bien que c’était le plus beau cadeau qu’il soit possible de lui offrir. Il a pris son temps. Elle lui a même donné son cache-sexe, en souvenir. Le parfum de la vulve s’est propagé dans la classe. Une odeur puissante, pas celle des demoiselles qui prennent une douche tous les matins et tous les soirs de peur que leurs fragrances se diffusent. L’exhalaison qui rend fou tous ceux qui aiment vraiment les femmes. Tout le monde a senti ce fabuleux effluve, mais Paul était aux premières loges, et quand il a rangé le ...
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