1. Vacances en camping-car (12)


    Datte: 04/12/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: burton195, Source: Xstory

    ... des capotes ?
    
    — Non, mais t’en fais pas pour ça, j’ai ce qu’il faut.
    
    — Tant mieux...
    
    Je sortis aussitôt ma main trempée de sa culotte, la portai à sa bouche pour qu’elle me lèche les doigts puis, alors que je m’apprêtais à enfourner mon sexe dans le sien, Marion me stoppa gentiment.
    
    — Pas ici, s’il te plaît, me dit-elle.
    
    — Pourquoi ?
    
    — Parce que j’ai pas envie que les parents nous surprennent, et en plus, ça me ferait bizarre de me faire baiser en plein milieu du salon familial...
    
    — Donc tu proposes quoi ?
    
    — Qu’on aille dans ma chambre...
    
    — Comme tu veux...
    
    Nous ramassons aussitôt nos vêtements que nous avions balancés aux quatre coins du salon puis nous nous dirigeons ensuite vers le couloir qui accédait aux chambres. Marion marchait devant moi, simplement vêtue de sa petite culotte et, en voyant ses petites fesses dodeliner et son dos nu, une pulsion m’envahit. Je lâchai aussitôt mes vêtements qui tombèrent en boule par terre puis, je plaquai Marion face contre le mur le plus proche avant de lui baisser furieusement sa culotte.
    
    — Désolé ma chérie, mais je vais pas pouvoir attendre, lui dis-je, avant de lui mordiller le lobe de l’oreille.
    
    — T’es chiant...
    
    — J’y peux rien si tu m’excites !
    
    Avant qu’elle n’ait le temps de répondre quoi que ce soit, mon sexe prit entièrement possession du sien, et je commençai aussitôt à la prendre en levrette. Comme d’habitude, j’y allai d’abord doucement puis, plus Marion gémissait bruyamment, plus ...
    ... j’accélérais le rythme, si bien que, pour finir, je lui défonçais copieusement l’entrejambe, tout ayant passé un bras autour de sa taille, et en lui tirant les cheveux de l’autre main. Qu’est-ce que c’était bon !
    
    Après quelques minutes de baise intense, Marion me dégagea mon sexe d’une main fébrile puis, elle se mit dos au mur, et m’embrassa langoureusement avant d’empoigner à nouveau ma bite pour la présenter à l’entrée de sa minette. Je m’y enfonçai aussitôt et, alors que Marion passa ses bras autour de ma tête, je lui levai une jambe d’une main pour que les allers-retours dans son entrejambe soient plus pratiques.
    
    — J’aime ça... quand tu... me défonces ! S’exclama-t-elle, haletante.
    
    — Tant mieux...
    
    En voyant ses beaux seins ballotter sous l’effet de mes coups de reins, j’en attrape un de ma main libre, et me mets à lui mordiller doucement le téton, ce qui n’a pas l’air de lui déplaire.
    
    Soudain, une image arriva dans ma tête, celle de mes deux parents qui rentreraient plus tôt que prévu de leur dîner, et qui, en ouvrant la porte d’entrée, tomberaient nez à nez sur cette scène irréelle : Marion et moi, nus comme des vers, en train de baiser furieusement en plein milieu du salon familial dans lequel nous avions fait tous les deux nos premiers pas. En imaginant leur tête en nous voyant, je ne peux m’empêcher de sourire, et Marion n’a pas l’air d’y prêter attention puisqu’elle ne me fit aucun commentaire à ce sujet, trop accaparée par ce qui se passe entre ses ...