1. Au rythme régulier de notre monture (3)


    Datte: 03/12/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Bugsy, Source: Xstory

    Que c’est beau, le sexe d’une femme !
    
    Du moins je trouvais magnifique celui que pour la première fois j’avais sous les yeux. Bien sûr, je n’avais aucun moyen de comparaison, n’ayant vu nues que des femmes sur des photos où, bien souvent, les organes génitaux étaient à moitié cachés.
    
    Sa douce toison, toute bouclée, était aussi blonde que ses cheveux. Elle dessinait un parfait triangle dont l’extrémité inférieure venait se perdre entre le haut de ses cuisses. On devinait dessous sa belle fente, bien nette, aux bords un peu gonflés. Sur les poils qui étaient au bord de cette fente, ainsi que sur ceux qui venaient se dissimuler à son entrejambe, je pouvais voir de petites gouttes qui perlaient. Si, pour le moment, je ne caressais cette magnifique petite chatte qu’uniquement avec mes yeux, je sentais mes lèvres fortement attirées, mes mains qui commençaient à me démanger...
    
    — C’est la première fois que tu vois une femme ainsi, toute nue ?
    
    — Oui ! En vrai, c’est la première fois !
    
    — Et...
    
    — Eh bien... je trouve que cela est... magnifique ! Enfin... c’est toi ! C’est toi qui es magnifique, Marie Hélène !
    
    Oui, elle était belle, bien belle... et tout mon être le criait, de mes yeux qui ne pouvaient arrêter de contempler le merveilleux spectacle de cette jeune femme nue, offerte à mes désirs, à mon sexe que je sentais de nouveau dur et bien tendu.
    
    Il n’était plus cette fois emprisonné dans mes vêtements et mon gland qui avait je crois doublé de volume ...
    ... n’attendait que les douces caresses de mon aimée.
    
    Enfin ma main se posa sur son mont de Vénus. Mes doigts commençaient à caresser, à s’emmêler dans les poils de sa toison.
    
    Comme elle était douce sous ma main !
    
    Je la sentis frémir quand la paume de ma main survola sa fente, et puis je remontais jusqu’à ses petites lèvres, découvris son clitoris que je caressais doucement avec amour. Tout rouge, arrondi, il semblait venir au-devant de mes caresses. Mon majeur vint su sa fente, la parcourut de bas en haut. Sous la pression de mon doigt je sentais ses lèvres qui s’écartaient légèrement, je sentais son humidité, je sentais déjà la chaleur de son vagin.
    
    La première phalange fut vite engloutie par ce sexe offert. Ses cuisses s’écartèrent un peu pour que je puise mieux la caresser intimement, une de ses mains farfouillait dans mes cheveux tandis que l’autre avec douceur caressait mon sexe. Petit à petit, mon doigt prenait possession de son sexe, de son vagin que je sentais sous mes doigts devenir de plus en plus humide. Elle geignait doucement, les paupières à demi closes tandis que sa main qui avait cessé de me caresser était cependant restée autour de mon sexe.
    
    Mon majeur courait le long des parois de son vagin, tout en s’enfonçant de plus en plus au creux de son intimité. Elle était toute chaude, elle mouillait beaucoup, et mon doigt en sa fleur, empli de sa cyprine laissait entendre de petits clapotis tandis qu’elle s’offrait de plus en plus profondément.
    
    Je restais ainsi ...
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