1. Sur la plage naturiste (2)


    Datte: 02/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... bien écartées, dévoilant un anus ambré qui n'attendait que la langue de l'homme. Celui-ci ne se fit pas prier, complétant sa visite par une caresse invasive de la vulve, aussi humide qu'un marais en hiver. Quant il positionna son gland à l'entrée de l'anus, l'anneau ne marqua qu'une brève résistance, signe qu'il n'en était pas à sa première visite. La queue volumineuse de Philippe avait bien préparé le terrain. Les yeux à la fois sur l'océan, la croupe de Manuella et sa nuque chevelue, Christophe s'engagea totalement, faisant claquer la peau de son ventre sur les fesses joufflues de sa partenaire, qui l'encourageait de la voix et des hanches :
    
    - Allez, vas-y, à fond, je veux sentir tes couilles sur ma chatte !
    
    Christophe ne put réprimer une petite goutte de sperme mais parvint à se concentrer pour asséner de virulents coups de reins et ainsi faire monter l'orgasme de sa partenaire. Quand celle-ci lâcha prise, la chair de poule sur les hanches, Christophe gicla à longs traits, le regard perdu sur l'horizon infini. Quel pied, bon dieux, quel pied ! se dit-il.
    
    Dans l'habitacle, le couple provisoire avait atteint lui aussi le nirvana sexuel. Les talons au niveau des omoplates de Philippe, pliée, écartelée, défoncée, fouillée jusqu'au tréfonds par le membre plantureux de son amant, Corinne avait manifesté un orgasme sauvage qui avait fait révulser ses yeux au point d'effrayer son responsable. Puis elle avait poussé un long feulement avant d'exprimer sa gratitude à l'homme ...
    ... qui l'avait entrainée sur ces contrées rares.
    
    - Cinquante balais et jouir comme ça, c'est génial et incroyable, avait-elle confessé.
    
    L'homme en avait retiré une légitime fierté, cependant un peu atténuée un peu plus tard quand Manuella raconta à quel point, elle aussi, avait connu l'extase. Les deux hommes en conclurent que le contexte, autant que leur bite, avait bien contribué à la félicité de leurs épouses...
    
    Après cette partie de jambes en l'air bien sentie, les deux couples éprouvèrent le besoin d'un bon bain de mer. Par mesure de sécurité, les femmes plongèrent en premier puis après leur retour à bord, ce fut le tour des hommes. Une séance de bronzage-séchage prolongée (mais chaste) conclut l'après-midi et on rentra sagement au port. Un dîner en commun fut organisé, au terme duquel on promit de se revoir à la plage.
    
    Le lendemain, Corinne et Christophe posèrent leur serviette à l'endroit habituel mais Manuella et Philippe ne vinrent pas les rejoindre. Ni le lendemain, ni les jours suivants. Une visite au port démontra que la jolie vedette n'était plus amarrée au ponton d'où les deux couples avaient gagné le large. Renseignement pris, elle avait définitivement quitté le port.
    
    - Quand même, ils auraient pu nous prévenir, déplora Corinne, déçue par l'attitude de leurs hôtes marins.
    
    - Ils ont peut-être eu une bonne raison, mais ils auraient pu nous téléphoner vu qu'on leur avait donné notre numéro, regretta Christophe.
    
    Au bout du compte, ils préférèrent ...
«12...5678»