Marie... une femme transformée.
Datte: 02/12/2018,
Catégories:
Anal
Mature,
Sexe Interracial
Auteur: swingtd, Source: xHamster
... me fais du bien…
Non, mes mains se sont crispées sur son cul (oh encore) pour l’attirer en moi. Il entre encore et toujours, sans difficulté, sans que ma chair ne se rebelle. Comme ma chatte pourrait-elle ne pas l’accepter, vu que ma mouille déborde de mon sexe et me coule entre les fesses. Son gland bute un peu plus haut et boute mes chairs plus intimes encore. J’ouvre mes yeux. Il me regarde, surveillant mes réactions à son entrée triomphante dans mon ventre. Il me chuchote à l’oreille :
- Ton sexe est très doux… et très serré. C’est très bon… pour moi, et pour toi ?
- Moi aussi, c’est très bon…
Il cherche mes lèvres, il veut m’embrasser. Je tourne la tête, gênée par ce geste trop intime. Mais il revient à la charge. Au diable mes préjugés, mes réticences. Je lui cède mes lèvres. Il me mange la bouche. Quelques secondes plus tard, je lui demande :
- Viens !
Il est entré de plus de la moitié. Son bassin pèse encore sur mon ventre. Il avance encore. Je bascule mon bassin et j’écarte encore (si cela est encore possible !) mes cuisses. Une dernière contraction de ses reins et cette fois il est entré totalement. Son gland vient buter conte le col de mon utérus. J’ai la sensation d’être pleine, remplie. Mon sexe est complet, ne peut plus rien accepter. Chaque poussée vient taper un endroit que jamais personne ne semble m’avoir touché. Chaque avancée me provoque une sensation inconnue, électrisante. Je jouis brutalement sous la pénétration profonde. Je ...
... m’ouvre encore. Je lui donne mon sexe. Mes genoux tapent sur mes épaules. Il sent que je jouis. Il entame une cavalcade, une courte série de va-et-vient. Il accélère la cadence. Je n’en peux plus. Il va me rendre folle. Il me pilonne de longs coups de reins. Chaque butée me fait pousser des petits cris, chaque recul me fait chercher ma respiration. Il accélère le mouvement, me possède "à fond", me remplit, me défonce le sexe de longues minutes. Il va si loin que j’ai peur que sa queue me remonte dans la gorge.
C’est une première, une grande première. C’est plus qu’agréable, c’est merveilleux… Jamais je n’avais connu une telle jouissance, un tel plaisir sous la queue de mon mari. Je crie sous la v******e de l’orgasme. Mon ventre me fait mal, mal de plaisir. Je veux que cela cesse, mais en même temps, je veux que cela dure encore, très longtemps, toujours peut-être… J’ai l’impression que mon cœur va sortir de ma poitrine, que je vais mourir d’un infarctus… Je perds ma respiration sous le plaisir. Je retrouve ma respiration superficielle de mes accouchements. Mes mains, crispées sur ses fesses dures lui indiquent que mon sexe a encore faim de lui. Je veux le retenir, le garder en moi, mais aussi lui demander de sortir de moi, mais de revenir. Je veux être sure que je ne rêve pas, pour être sure que sa queue en moi est bien la réalité. Je suis un jouet au bout de son sexe démoniaque. Mais c’est trop bon. Je gémis en le regardant dans les yeux et lui dis tout mon plaisir.
- Ne ...