1. La vie dissolue d’une bigote 1 La découverte du plaisir


    Datte: 01/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... à mon baiser. A bout de souffle et l’eau se refroidissant, nous sortons de la douche. Nous nous séchons mutuellement avec beaucoup de plaisir et même de gaieté pour Geneviève. Nous passons au salon, toujours nus, en nous tenant par la main, sans qu’elle pense à se rhabiller.
    
    Sur le canapé qui nous reçoit, heureusement qu’il est en skaï vu notre humidité, Geneviève se pâme plusieurs fois sous mes assauts. Je lèche aussi sa moule odorante avalant sa cyprine dont je me régale. Pour l'instant elle ne me suce pas. Nous entrecoupons nos joutes de quelques pauses réparatrices, durant lesquelles, ma belle-mère se confie peu à peu :
    
    C’est vrai, qu’elle s’est mariée assez rapidement, qu’elle n’a pas connu d’homme auparavant. C’est vrai aussi qu’elle a eu ses quatre enfants de façon rapprochée en suivant le rythme d'un par an. Son éducation et la famille de son mari l’ont enfermée dans ce rôle de bonne mère, bonne épouse, bonne paroissienne etc.…
    
    Jamais elle n’avait ressenti ce qu’elle vient de vivre. Je lui dis de ne pas confondre, l’amour avec le plaisir. Je ne l’aime pas, mais j’aime la baiser. Que je sens en elle des capacités à aller plus loin et à devenir une fieffée salope. Que je vais lui faire découvrir des pratiques destinées à accroître son plaisir et celui de son partenaire, actuellement, moi-même. Elle a quinze ans de plus que moi, mais c’est elle qui est l’élève. C'est vrai qu'il y a autant d'écart entre elle et moi qu'entre sa fille et moi. Quand je le lui fais ...
    ... remarquer, elle s'offusque, me traite de pervers, mais dès que je la pénètre ou la caresse, elle oublie tout.
    
    Alors que nous venons une nouvelle fois de baiser je me rends compte tout à coup, qu’il est presque onze heures et demie, cela fait plus de deux heures que nous baisons !
    
    Branle-bas de combat ! Sa fille et son mari doivent arriver pour midi ! Elle n’a plus le temps de préparer le repas et de s’habiller. Je lui conseille de rester en peignoir et de dire qu’elle est souffrante et n’a pas dormi. Moi je me précipite sous la douche de l’entresol et je m’éclipse de la maison, pour ne revenir qu’après le retour des autres. Je m’arrange pour arriver après ma copine. A la cuisine je retrouve Geneviève assise en peignoir, son mari installe la table et sa fille prend de ses nouvelles.
    
    Elle nous explique, enfin, explique à sa fille, qu’elle ne se sent pas bien. Son visage non maquillé et marqué par la « gymnastique » matinale permet de faire passer facilement la chose.
    
    « Tu ne veux pas que j’appelle le docteur ? Tu n’as pas l’air bien. Demande sa fille.
    
    Non, non, ça va maintenant.
    
    Tu peux aller te coucher on va se débrouiller, tu sais.
    
    Ça va ! Maintenant j’ai un peu faim (tu m’étonnes !) je vais manger et j’irai faire la sieste ensuite ». Je me dis que ma belle-mère est une sacrée menteuse. Elle a vite appris à cacher la vérité sans la moindre hésitation.- Je donne aussi un coup de main pour dresser la table et profite d’un passage près d’elle pour lui glisser ...
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