Escapade Hongroise
Datte: 01/12/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: Laetitia sapho, Source: Hds
... doigt de plus en plus loin.
La brune fait le tour du bureau. Son pantalon serré milieu de ses cuisses, qu’a rejoint maintenant son string, l’empêche de faire des grands pas, elle glisse plus sur le sol, qu’elle ne marche. Elle vient se mettre devant le bureau et s’est appuyé sur le plateau pour se caresser fébrilement.
La blonde s’est décollée de moi, et est en train de baisser la fermeture éclair de ma jupe pour la faire tomber sur le sol. Elle fait maintenant glisser mon string sur mes cuisses, puis sur mes mollets. Je lève un pied puis l’autre, pour qu’elle m’enlève le sous-vêtement. Je suis maintenant presque nue. Il me reste mon chemisier et la veste de mon tailleur, ouverts. Impossible de me les enlever, puisque je suis toujours menottée, mais ils sont largement ouverts et mes épaules ont été dénudée. Il me reste aussi mes bas et mes escarpins. Le sol en carrelage étant d’une propreté douteuse, s’est aussi bien !
La brune dit quelque chose en hongrois à sa copine. La blonde rigole, se baisse, ramasse mon string et le lance à la brune qui l’attrape au vol.
Elle le porte à son nez et je l’entends fortement respirer et humer le tissu.
La brune se redresse mon string à la main. Elle est devant moi maintenant. Elle tient mon string des deux mains au niveau de son visage. Elle tire et écarte au maximum mon sous-vêtement. Elle va me le péter cette conne !
Elle s’approche encore de moi. La blonde s’est reculée. Elle passe mon string autour de ma gorge, fait ...
... le tour de mon cou et sert. C’était donc pour ça qu’elle l’a tendu à ce point-là.
Elle se retourne et s’éloigne vers une porte au fond de la pièce en me tirant par le string autour de ma gorge. Elle lance un ordre d’un ton sec. Un ordre du style « viens » ou suis moi », avec surement un mot du genre « conasse » ou « pétasse » à la fin, enfin un mot en asse, mais en hongrois !!!! je ne saurais pas vous en dire plus …
Je la suis, cassée en deux. Elle piétine toujours, plus qu’elle ne marche du fait du pantalon et du string baissé sur ses cuisses. J’ai le visage au niveau de son cul : joli spectacle, ma foi.
La blonde suit en rigolant.
La pièce, où elles m’entrainent est vide, hormis un lit à barreaux en ferraille avec un matelas sur le sommier et une petite commode bancale. Rien d’autre, les volets, sont aussi clos et la lumière blafarde de l’ampoule qui pend du plafond éclaire à peine la pièce. Ça sent le renfermé.
La blonde, ouvre la fenêtre, puis les volets, en disant un truc en hongrois du genre « au moins comme ça, on la voit mieux cette salope ». Ca fait marrer la brune. Moi l’humour hongrois me laisse de marbre, où peut être que je n’en saisie pas toute la finesse, va savoir !
La brune, qui doit être la plus gradée des deux, me lâche enfin et s’est assise sur le lit. Elle dit quelque chose à la blonde qui s’approche de moi, et m’ôte les menottes. Ouf, je masse mes poignets endoloris. Elle tire ma veste et mon chemisier vers le bas pour me dénuder le haut ...