1. Exhibitions devant des voisins ou des amis


    Datte: 01/12/2018, Catégories: f, fh, couple, fépilée, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Nanou, Source: Revebebe

    ... il le sait bien, le canaillou, car il revient aussitôt en moi et je reprends ma progression sur le chemin de la jouissance. Cette fois-ci, il me pilonne carrément, il me connaît et sait que quand je suis dans cet état, je peux quasiment tout accepter. Mon corps est parcouru de spasmes, témoins d’un orgasme imminent. Bernard poursuit son action, j’aime être dans cet état de sublimation sexuelle. À chaque pénétration, son ventre vient heurter mes fesses, ses boules cognent contre mes lèvres intimes, je l’ai rarement ressenti de cette manière. J’aime trop ça, c’est trop bon. Je ne suis plus qu’une poupée désarticulée par le plaisir qui l’inonde. Je perçois mes gémissements comme s’ils étaient exprimés par quelqu’un d’autre. Je me pâme, je tombe presqu’en syncope. Ma jouissance devient presque irréelle. Et, détail qui ne trompe pas, je sens mon anneau se contracter, je le ressens, sans doute possible, se resserrer à plusieurs reprises, en cadence avec mes ondes de jouissance. Bernard aussi doit être à bout, car je sens ses mains se crisper sur mes hanches, il s’aboute au fond de moi et je perçois le jet de sa semence au fond de mes entrailles. Sa jouissance en moi engendre une nouvelle vague de plaisir qui déferle en moi comme un tsunami ...
    ... d’amour.
    
    Mon chéri reste immobile, le temps que je reprenne « pied ». Puis, il m’entraîne sur le côté, et nous restons comme ça, lui toujours emboîté dans mon petit cul. Il me caresse les seins un moment et sa main descend sur mon minou tout lisse. Je sais qu’il adore ce contact.
    
    — Eh bien, dis donc ! J’ai l’impression que tu as joui comme rarement. J’ai bien aimé, moi !
    — Oui, c’était énorme !
    — Et pourtant ce n’est pas ce que tu préfères, c’est la première fois que je te sodomise aussi fort.
    
    Je me sens incapable d’en dire plus. Nous nous relevons quand le pénis de Bernard quitte mon corps.
    
    Toute la soirée, je perçois les effets de la présence de mon homme dans mes fesses, toutefois, le plaisir que j’ai ressenti me fait oublier ces légers désagréments.
    
    Le soir, j’explique tout à mon chéri, qui me traite de petite « cochonne exhibitionniste ». Il n’est pas gêné de m’avoir sodomisée devant Michel et encore moins que je me sois épilée en m’exhibant à ce dernier. Il m’a même posé la question suivante :
    
    — Si Stéphane était resté, tu crois que tu aurais pu contenir tes ardeurs ?
    
    Je n’ai toujours pas la réponse, je pense que je me serais retenue, vu que nous sommes amis et que cela peut briser une relation. Toutefois, je ne parierais pas. 
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