1. Soumise, sinon rien. (20)


    Datte: 30/11/2018, Catégories: Erotique, Auteur: xicemanx, Source: Xstory

    ... Vas-y, Steph continue de la préparer. Plug dans le cul et œuf dans la chatte.
    
    M’adressant à Léa.
    
    — Bienvenue Léa. J’aime beaucoup tes seins. Mais il en manque un peu. Donc, on va faire comme pour Steph, tu vas passer à la trayeuse, tous les jours. Ça fonctionne. Tes tétons seront sollicités, pensant qu’un bébé veut téter. Au bout d’un certain temps, tes seins vont produire du lait et grossir. Ça commence maintenant.
    
    — Je la prépare Fabien ? Me dit Steph.
    
    — Oui, vas-y. Occupe-t’en. Tu sais faire maintenant.
    
    Steph demanda donc à Léa de se mettre à quatre pattes sur la table basse. Elle sortit la trayeuse, badigeonna ses seins d’huile d’amande douce et mis en place les extrémités sur ses seins. Comme elle avait l’air de souffrir, Steph mit en route l’œuf vibrant.
    
    Pendant tout ce temps, Fabienne était restée muette, dans un coin du salon, ayant légèrement relevé sa robe, dévoilant sa chatte imberbe et se touchait, se doigtait.
    
    — Ça t’excite tout ça, hein.
    
    — Putain, j’adore. Je kiffe. Tu ne peux pas savoir comment je suis excitée. J’attends qu’une chose, de me faire défoncer la chatte et le cul.
    
    — Alors, j’ai un deal pour toi. Tu me suces comme tu sais si bien le faire et je te présente dans ...
    ... la foulée à Richard et Gaspard.
    
    — C’est qui, eux ?
    
    — Des potes. Ils sont dans l’immeuble. Ils sont chauds et vont te défoncer.
    
    — Ok. Deal.
    
    — Avant, j’ai un petit cadeau pour toi. Lui dis-je en lui tendant une petite boîte.
    
    Elle ouvrit et découvrit un collier de chienne, qu’elle s’empressa d’attacher autour de son cou. Pour le fermer, j’utilisai un tout petit cadenas. Et je gardai évidemment la clé.
    
    Elle sourit. Alors que j’enlevai mon pantalon, elle fit rouler le haut de sa robe blanche vers le bas, dénudant ses seins. Je voyais déjà la future image d’elle, ses seins cloués à la petite planche et servant de desserte à verre...
    
    Elle tomba à genoux devant moi et attaqua son travail d’experte. Il n’y a pas à dire. De toutes celles que j’avais connues, Fabienne était la meilleure dans ce domaine.
    
    Toujours, sans les mains, elle alternait les mouvements lents et rapides, le suçage de gland à la gorge profonde. Impossible de résister plus de deux minutes. Je lui crachai dans la bouche dans une explosion de joie et de jouissance.
    
    Et même après cela, elle continuait à sucer, histoire d’extirper le maximum de jus de couilles et de s’en délecter. Elle adorait ça. Avec Gaspard, elle serait servie... 
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