Le voisin est un pur-sang (10)
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... dans ta chatte hein prends-là !
Et il introduisit l’énorme braquemart. Les chairs s’écartèrent pour rendre hommage au colossal membre dont elles avaient été trop privées, sous le regard contemplatif des nouveaux et même des habitués.
Puis il agrippa aux jambes pliées de la femme et commença à la déchirer.
— Alors salope, t’aimes le jus... j’vais t’arroser grosse vache. J’vais te déglinguer comme jamais, j’vais te démonter.
Il disait cela avec une espèce de colère.
— Viens là que je te prenne comme une chienne. Sors-toi de son cul Henri.
Henri fit place nette et notre étalon la mit à genoux sur le banc pour bien la prendre. Mais avant, il lui lécha la chatte et lui bouffa le cul comme un panier de fraises. Pendant ce temps ceux qui pouvaient approchaient leur chibre pour se faire sucer ou pelotaient les seins lourds qui pendaient vers la terre.
Elle se régalait. La langue fougueuse du mâle en rut faisait merveille et, dès que sa bouche était libre, elle gémissait un peu. Bave ? Cyprine ? Le menton de Germain et sa barbe de trois jours qui devaient puissamment exciter le clitoris, et l’entrecuisse de ma femme étaient trempés.
Alors, il l’encula.
Pas de gel, pas de précaution, rien... Il appuya juste son gland sur la rondelle, agrippa la femme par les épaules et poussa sauvagement.
Bien qu’elle eût fréquemment usé du gode en plastique pour pratiquer cet exercice, elle hurla en demandant de faire plus attention.
— Tu veux de la queue et de la ...
... bonne, tu vas en avoir. Y’a combien de temps qu’on ta pas élargit le trou ? J’vais te le mettre comme l’entrée du tunnel du Mont-Blanc; les gars après moi vont nager dedans. Ils vont même pouvoir t’enfiler à deux... t’attends que ça hein garce, dis-le !
Mais il y avait quelque chose d’agressif dans le ton et ma chérie ne répondit pas.
Il continua. Il la secouait tellement qu’elle avait du mal à se tenir sur le banc. Elle dut même s’y cramponner, en écrasant ses gros nichons contre le meuble et en mettant son cul bien en cible.
Puis, il ressortit son énorme sexe, cracha sur son gland et pénétra le con.
— A salope, salope... toujours aussi bonne ta chatte. Toi, le cocu... viens te faire sucer, je veux te regarder dans les yeux pendant que je saute ta femme.
C’était un ordre, presque un défi. Jamais il ne m’avait parlé comme cela. Il ne m’avait jamais traité de cocu mais m’appelait toujours son pote ou même par mon prénom. Le ton était très virulent. Mais je lui obéis. Il était rare en gang bang qu’il me demandât de participer, il savait que je préférais regarder.
Les autres gars s’étaient écartés pour regarder le duel. Ils se pignolaient en commentant les performances sexuelles de l’étalon qui bourrait frénétiquement plus que les miennes évidemment bien que ma femme me gratifiât d’une mémorable gâterie.
Germain me regardait fixement tout en allant et venant. Je ne cédai pas à son regard. Je n’avais rien à me reprocher. Alors il se pencha pour lui peloter les ...