1. COLLECTION FANTASME. Triolisme (1/1)


    Datte: 30/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... l’impression d'être cocus.
    
    • En attendant que, je te fasse cocu ou toi de ton côté donne-moi ta verge que je te suce, je sens sous ma main qu’elle est prête à éclater.
    
    • C’est bien, je vois que tu as encore un peu de sentiment pour moi et qu’après ma verge dans ta bouche, tu aimes encore te la prendre dans ton joli minou.
    
    • Attends, je vais te sucer en levrette et comme cela, je serais dans la bonne position pour que tu finisses dans mon anus, si dans quelques jours, je dois me faire pilonner par deux verges, il faut que je sois préparée.
    
    Regarde, grand fou met ta main là où cela fait du bien, je suis trempée.
    
    C’est excité par nos propres fantasmes qu’elle me suce en gorge profonde m’avalant la verge avec application comme elle sait si bien le faire depuis qu’elle m’a dépucelé.
    
    Je pourrais faire croire que je suis un tombeur de femmes qui depuis mon adolescence baise tout ce qui bouge alors que je dois reconnaître qu’à 24 ans quand j’ai rencontré Fabienne, j’étais un puceau honteux.
    
    Mon seul plaisir, à partir du jour où j’ai découvert que j’ai une queue, était la branlette devenue journalière, voire bi-journalière.
    
    Depuis ce jour béni où j’ai trempé ma verge en elle qui était une femme libre de son corps et qui si j’étais vulgaire à 22 ans avait déjà beaucoup d’heures de vol. Elle s’était fait dépuceler à 17 ans par un vague cousin le jour de la noce de sa sœur sur le siège arrière de la voiture qui avait servi à la transporter, car ils étaient les ...
    ... témoins, son cavalier possédait cette vieille traction avant Citroën qu’il rénovait.
    
    C’est pourquoi après 7 ans de mariage, apprendre qu’elle fantasme sur d’autres verges en elle semble logique.
    
    Je trouve déjà que la chaude qu’elle était les années précédant notre mariage est restée sage après toutes ses turpitudes de jeunesse, qu’elle a eu le courage de m’avouer, mais me promettant que pour elle, à partir du jour de notre mariage seul moi comptait.
    
    Sitôt qu’elle m’ait sucé, comme elle me le demande, je contourne son corps et je me place bien dans l’axe et avant de lui faire plaisir en la sodomisant, je lui prends la chatte qui comme elle me l’a dite est dégoulinante.
    
    J’adore la limer en rythmes différents, lentement pour commencer et accélérant quand sa jouissance monte dans son corps.
    
    J’étais peut-être un bleu lorsqu’elle avait déjà des dizaines d’orgasmes à son actif avec ces nombreux partenaires, mais j’ai bien rattrapé mon retard et elle doit reconnaître que, depuis ce premier jour pour moi, jamais ma queue a oublié de lui faire atteindre l’orgasme.
    
    C’est encore le cas ce soir et le cri de plaisir qui sort de sa gorge me prouve que j’ai bien tenu mon rôle de mâle, ce qui me permet de remonter mon tir et de la sodomiser, comme elle en a émis le souhait.
    
    Ce que ma femme veut pourquoi l’en privé.
    
    Avec son expérience, sa rosette qui me malaxe la tête de gland arrivant à m’empêcher de sortir à un mauvais effet sur moi, car il faut que je fasse un effort ...
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