L'ECHANGE DES CLES
Datte: 30/11/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
... dispositif de chasteté ) Il faut suivre un peu !
Bon excusez moi, je sais bien que vous suivez mon histoire mais c'est vrai ça , j'étais un peu agacé à ce moment. J'étais en manque, mon dispositif devenait difficile à supporter à ce moment et je sentais cette pression infernale du cock-ring sous mes couilles, les ouvertures sur les côtés qui me coupaient la peau, c'était presque douloureux et vraiment désagréable.
Contre ma peau il y avait la douceur de la sienne, la finesses de sa silhouette, ses mains, sa bouche, c'était doux. Contre ma peau il y avait aussi son dispositif de chasteté qui appuyait contre mon ventre, ce n'était pas très agréable, j'avais envie de le lui retirer mais je n'en faisais rien, ça lui apprendra, c'est lui qui a commencé après tout. Contre ma peau il y avait enfin ma cage, ma PK, cette pression épouvantable autour de ma queue, à la base de mon sexe. C'était l’horreur, je voulais le retirer mon truc, je voulais pouvoir me branler, l'obliger à me sucer et pour finir l'enculer sans ménagement, sans lui demander, de force, bien à fond. Je voulais l'entendre hurler même si ce n'était pas de plaisir.
Je le couvrais de baiser avec toute la tendresse que je pouvais manifester et je le sentais vibrer dans mes bras. Son souffle était fort, le mien aussi. Cent fois ma main passait sur ses fesses, cent fois un doigt se glissait entre ses fesses, cent fois mon doigt s'est attardé sur l'ouverture de son petit trou du cul, il me regardait alors avec ...
... des yeux tristes avec le souffle court. Il voulait dire : '' Vas y !'' mais je n'en faisais rien, je faisais monter le désir et à voir la tristesse dans son regard il montait, il montait très haut même.
Il en faisait de même, il faisait comme moi, il me copiait le bonhomme ! Longuement il me suçait les couilles tout en me massant le trou du cul, il me laissait l'impression qu'il allait franchir cette frontière de l'intimité plus sérieuse, plus délectable, plus jouissive encore que tout ce qu'on pouvait se faire à ce moment, mais lui non plus n'en faisait rien !
Je ne me faisait pas prier pour lui sucer les couilles, pour lui mordiller la peau un peu partout et en particulier sur les tétons, je lui arrachait alors de petits gémissements, de petites plaintes. Il passait alors un bras derrière ma tête et me serrait contre lui.
Je le sentais trembler, je le sentais vibrer, je tremblais et vibrais également, nous avions le souffle fort et court, nos cœurs battaient à tout rompre et peu à peu nos caresses redevenaient plus lentes, moins fortes, plus douces …
J'étais allongé sur le dos, il était allongé sur moi, d'une main je lui caressais les fesses, d'une main il me caressais les couilles. On échangeait un baiser et pendant un long moment on ne bougeait plus. Son souffle redevenait plus lent, je le sentais se détendre. Un instant j'ai même cru qu'il dormait, c'était un instant agréable.
Ma queue me faisait presque mal, mais je me calmais également, je respirait plus ...