Sex-shop
Datte: 29/11/2018,
Catégories:
couple,
sexshop,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Pierre Favric, Source: Revebebe
... d’entrer en collision avec une vitre invisible, et je lis sur son visage la trace d’un étonnement et d’une stupéfaction assez comique…
N’empêche que mon cœur s’emballe quand même devant la présence de ce nouveau spectateur.
Le rideau s’ouvre et Bénédicte réapparaît, souriante et rose d’émotion, avec le mini-slip, aussi fin et travaillé que la guêpière, dévoilant ses cuisses jusqu’aux hanches, et dont le devant laisse clairement distinguer les poils du haut de son pubis. Elle marque un temps d’arrêt en découvrant ce nouveau spectateur ; nous sommes maintenant quatre paires d’yeux à ne pas perdre une miette de ce spectacle époustouflant. Commerçante attentive, enchaînant avec naturel dans cette situation pourtant assez inhabituelle, la femme s’approche de Bénédicte :
— Vous sentez-vous bien ? Il ne faut pas que la guêpière vous comprime trop… ! dit-elle en empaumant les seins de ma compagne pour juger de leur maintien dans le vêtement.
Je vois Bénédicte tressaillir, me regarder avec un mélange de tendresse, soumission et excitation. Je guette sa réaction, connaissant son peu d’attirance physique pour les femmes.
— Avec cela, vous pouvez porter directement une veste, ou un chemisier très ouvert…Ce serait dommage de cacher une aussi jolie poitrine…Et cela permet aussi de deviner vos tétons… Ajoute-t-elle en effleurant du bout du doigt un mamelon tendu. Voulez-vous essayer le porte-jarretelles ?
Bénédicte rougit violemment tant sous le compliment que sous le ...
... geste, alors que derrière nous les bonshommes ne perdent pas une once de la scène et, le temps que la femme aille chercher l’artifice indispensable, je la prends dans mes bras et l’embrasse en vérifiant de mes mains la douceur du tissu.
— Tu es superbe ! Tu me fais bander comme un fou… Et toi, tu aimes ?
— Oui… C’est vraiment très doux sur la peau, et confortable…Tu as vraiment l’air d’aimer ! murmure-t-elle en sentant mon sexe contre sa cuisse.
La femme revient, s’agenouille aux pieds de Bénédicte, nous dévoilant ses cuisses jusqu’au-dessus de la naissance de ses bas, entreprend d’attacher le porte-jarretelles en frôlant ostensiblement les fesses, les hanches et le ventre de ma compagne. Puis elle écarte franchement la taille du slip pour glisser les jarretières, nous exposant brièvement le coquillage ombré dont les lèvres me semblent bien gonflées, frôlant du dos de la main la motte renflée, demandant tout naturellement :
— Vous êtes sûre que la culotte ne vous serre pas ?
Et sous mes yeux ahuris, elle glisse sa main et empaume la chatte de Bénédicte qui se cambre sous la caresse, une expression de surprise et d’incrédulité dans ses yeux rivés aux miens :
— Oh la coquine ! Elle est toute mouillée… Vous avez vu Monsieur ?
Les tempes bourdonnantes, sonné par la soudaineté du geste et du propos, comme un automate je m’agenouille aux cotés de la femme ; elle écarte l’élastique du slip sur la cuisse de Bénédicte, pose le doigt sur les lèvres ourlées qui s’ouvrent ...