1. Salope de tous les jours (Par Andrej)


    Datte: 29/11/2018, Catégories: Sexe Interracial Partouze / Groupe Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: mopib, Source: xHamster

    ... possédés carrément dans la corbeille du soutif et que mes tétons érigés étaient bien agacés. Mon fonctionnaire s’arc-bouta contre mon bas-ventre et se crispa contre moi en me soufflant à l’oreille « ahhh ! je jouis, tu me fais jouir petite salope », ma main gauche se remplit de liquide gluant et chaud, le mec déchargeait dans ma main… je sentis des appuis percutants contre mon cul et ma hanche… ça avait dû décharger de tous côtés.
    
    Tourneboulée, les jambes flageolantes, je descendis du métro… je me retournais au bout de quelques dizaines de mètres… plus de présence de mes frotteurs… enfin si ! je constatais quelques marques et trainées de foutre blanc sur ma jupette noire… j’étais en retard, je décidais de ne pas les essuyer (de toute façon je n’avais pas envie de les cacher… d’ailleurs pas mal de mecs me regardèrent avec insistance dans la rue) et j’arrivais ainsi au bureau.
    
    Evidemment, alors que, debout, arrivant à mon poste, j’allumais mon ordi tout en rangeant mon sac, mon collègue mâle (celui qui m’avait guidée dans mon cinq à sept à l’hôtel) s’empressa de venir me voir et, les yeux brillants devant ces traces évidentes de luxure matinale sur ma jupette noire, me dit : « mais t’es couverte de foutre Mélanie ! t’en as partout sur ta jupe ! »
    
    Je ne répondis pas tout de suite car je ne m’étais pas vraiment rendue compte à quel point j’étais maculée de sperme blanc (j’avais bien vu les traces du fonctionnaire sur le devant ! mais pas toutes les autres car tous les ...
    ... cinq mecs s’étaient lâchés sur ma jupe)
    
    « là, là, et là aussi, t’en as partout ! et ton cul, il dégouline ! … c’était dans le métro ? »
    
    « oui … je pense … »
    
    « comment ça tu penses ? ne me dis pas que tu ne t’en es pas rendu compte ? »
    
    « si, si, j’ai senti oui, les mecs qui bandaient contre moi »
    
    « ils étaient combien ? »
    
    « cinq je crois, peut-être six »
    
    « ils ont dû se régaler les mecs … putain t’as la dose … »
    
    « ouais, j’ai bien senti qu’ils aimaient ça… ça m’a fait jouir »
    
    « ahhhh ! t’as joui petite salope… allez viens aux toilettes, on va nettoyer ça »
    
    Il m’emporta vers les toilettes et, à peine entrés, il chercha à m’embrasser en me disant :
    
    « mais aucun t’a prise, il ne te manque pas une queue dans ta chatte… elle doit être en feu ? »
    
    Je ne sais plus ce que je balbutiais, je n’eus pas vraiment le temps car prestement il remonta ma jupe poisseuse, se débraguetta et sortit sa grosse tige bien bandée qu’il m’enfila d’un coup en levrette debout contre le lavabo. Surexcité mon collègue ne mit pas longtemps à m’arracher des gémissements de plaisir (qu’il s’empressa de masquer en plaquant sa main sur ma bouche, alors qu’il me pilonnait comme un soudard) et il ne mit pas bien longtemps non plus à décharger en moi, remplissant ma chatte détrempée et accueillante avec son foutre matinal.
    
    Oufffff ! il ressortit, essuya brièvement sa queue, se rebraguetta et disparut… me laissant seule dans les toilettes, où épuisée et comblée de jouissance, je ...