Contes sexuels (6)
Datte: 29/11/2018,
Catégories:
Divers,
Auteur: marla4, Source: Xstory
Je m’appelle Violette, je suis blonde et très grande et fine, j’ai fait beaucoup de gym pendant ma primaire et mon collège : j’ai toujours été le genre qui plait aux garçons mais je fais peu facilement confiance et j’approchais finalement peu la gent masculine.
Cette situation me tracassait un peu je l’avoue, surtout comparé à mes amies. J’avais 19 ans cet été-là, je venais de rater mon bac - ça avait été une année agitée, j’étais beaucoup sortie et la drogue ne m’avait pas aidée à réviser régulièrement - et mes parents m’avaient infligé comme punition, en plus de mon humiliant redoublement, des cours d’été par "un brillant étudiant en prépa", fils d’un de leurs couples d’amis.
En un sens j’espérais qu’il soit beau et que les séances prennent un tour plus personnel si vous voyez ce que je veux dire car même la drogue et l’alcool ne m’avaient pas permis de me faire enfin dépuceler et j’attendais avec impatience de perdre ma virginité.
Enfin ce fut le premier cours : j’avais tout prévu pour paraître désirable mais pas trop au cas où il soit vraiment repoussant. J’avais mis un petit polo blanc mais sans soutien-gorge, avec une jupe courte plissée bleu marine, qui montrait mes cuisses fines et fermes, et j’avais attaché mes cheveux en queue de cheval haute. J’étais restée pieds nus puisque le cours se déroulait chez moi, mes parents étaient d’ailleurs partis un peu plus tôt vaquer à leurs nombreuses occupations, galas et thés mondains pour ma mère, tandis que mon père ...
... se détendait avec une de ses maîtresses ou accroissait notre fortune lors de réunions avec de grands actionnaires.
On sonna, j’essayais de ne pas paraître trop excitée d’ouvrir la porte de notre villa et je le vis : grand, blond, un très beau visage avec un air amusé devant ma tenue et des lunettes qui allaient bien avec ce qu’on disait de son intelligence. Il avait un pantalon de coton beige et un pull d’où sortait une chemise à carreaux, j’adorais son style de prof de fac vintage et le fit entrer. Il me fit la bise, en me prenant par la hanche et je me demandais si beaucoup de profs particuliers se tapaient leurs élèves mais je dus sortir de ma rêverie quand il me demanda :
— Où dois-je te donner cours, Violette ?
Sa voix grave était douce et il avait l’air sérieux de l’intellectuel savant. Nous nous dirigeâmes vers le bureau qui m’était attribué au rez-de-chaussée, relié à ma chambre par un escalier privé. J’avais mis deux chaises côte à côte face à mon grand bureau en chêne massif.
Après que nous nous soyons assis, il sortit des livres divers et également un chronomètre.
— Nous allons voir ce que tu sais déjà. Dit-il en enclenchant le chrono
— Parle-moi des États-Unis et de leur économie
Oh mon dieu je pensais que j’allais avoir quelques instants de répit
— Je... Hum...
— Allons, tu sais bien quelque chose, dit-il en me regardant d’un air étrange.
Je ne savais pas si c’était un regard perplexe ou une sorte d’intérêt.
— Je sais où sont les ...