1. Retour de Joana


    Datte: 28/11/2018, Catégories: f, ff, fsoumise, fdomine, Oral sm, attache, fsoumisaf, Auteur: Mariechriss, Source: Revebebe

    ... désespérément l’orgasme libérateur en donnant des coups de reins dans le vide, en frottant ses cuisses l’une contre l’autre mais rien ne peut apaiser ce feu qui embrase ses reins.
    
    En relevant la tête elle aperçoit une balle de tennis posée sur sa table de travail et une idée lumineuse lui vient. Oui c’est ça…
    
    Elle roule sur le côté et se met à genoux, puis debout. Avec ses mains entravées par les menottes, elle attrape la balle et la pose par terre sur la moquette. Elle se remet à genoux mais cette fois-ci se couche à plat ventre, le sexe collé sur la balle de tennis. Elle commence à onduler sur la balle jusqu’à trouver le point maximal du plaisir. Ça vient vite et son clitoris, activé par les poils qui entoure la balle et aussi par son côté élastique, commence à réagir.
    
    — Ohhh que c’est bon, ouiii , aaah ! tu ne veux pas que je jouisse, hé bien ! tu vas voir que je me débrouille très bien sans toi.
    
    Les coups de reins de Marie-Claude sur la balle s’accélèrent jusqu’à atteindre une cadence folle. Marie-Claude est emportée par son orgasme comme un sprinter qui court le cent mètres. Elle halète, crie, gémit et finit par hurler son plaisir dans un long cri rauque qui retentit dans toute la maison.
    
    Joana qui l’a entendue, remonte précipitamment pensant que Marie-Claude a eu un accident. Elle rentre dans la pièce et voit Marie-Claude affalée à plat ventre qui respire très fort.
    
    — Ça va ? lui demande-t-elle.
    — Oh oui très bien, lui répond Marie-Claude avec un ...
    ... large sourire, c’était très bon tu sais, le tennis c’est formidable.
    
    Et sur ces paroles encore mystérieuses pour Joana, elle roule sur le côté et Joana découvre la balle de tennis coincée entre ses cuisses.
    
    — Bravo, quelle imagination, ça je ne l’avais jamais vu ! Se branler avec une balle de tennis ! Apparemment c’est efficace, si j’en crois ton cri. Ainsi, dès que j’ai le dos tourné tu jouis sans ma permission. Tu sais que c’est une faute grave qui doit être punie.
    
    Marie-Claude ne rit plus. Elle baisse la tête et murmure :
    
    — Oui maîtresse, je le sais, mais tu m’avais tellement excitée que je n’ai pas pu résister. Pardonne-moi, je t’en prie, je ne veux pas être punie.
    — Désolée ma grande, mais ton obéissance doit être absolue. Je ne peux pas te pardonner.
    
    Elle attrape Marie-Claude par les épaules et la force à se mettre debout, ce qui la fait crier. Mais Joana n’en a cure. D’une bourrade elle fait avancer Marie-Claude et l’entraîne dans le garage de la maison. Là, elle trouve un rouleau de ficelle qui lui sert à attacher Marie-Claude au tuyau de chauffage après lui avoir ôté les menottes.
    
    — Mets tes mains jointes ensemble. Oui, c’est ça.
    
    Joana attache les mains de Marie-Claude ensemble, comme si elle priait on ne sait quel Dieu lubrique.
    
    — Maintenant lève les bras, oui comme cela.
    
    Joana fait passer la ficelle au-dessus du tuyau de chauffage et tire dessus. Marie-Claude s’étire et monte sur la pointe des pieds. C’est ce que voulait Joana. Marie-Claude ...