Quelques limites franchies avec Marie - Histoires de Sexe

Quelques limites franchies avec Marie

... de relations sexuelles. Et au bout de trente minutes de dialogue téléphonique, Marie parvint à la convaincre de nous rencontrer. Notre idée de scénario lui parlait. Jouer un rôle était dans ses habitudes, alors pourquoi pas jouer un rôle sexuel, le temps d’une soirée, avec un couple qui lui parut aimable et respectueux ?

Je n’ai échangé aucun mot avec cette nana asiatique avant de la voir en vrai. C’est Marie qui a mené le jeu. Elles ont commencé par se voir toutes les deux, sans moi, quelques jours plus tard, dans un bar. Marie m’appela le soir-même, pour me raconter comment la rencontre s’était passée.

Elles avaient bu quelques verres, longuement discuté, puis sympathisé. Ensuite, elles étaient allées chez Marie. Elles avaient baisé et Kim était rentrée chez elle, après avoir dit à Marie que notre trip l’intéressait. Elle lui avait montré des photos de moi et raconté différents scénarios qu’on avait menés avec d’autres personnes dans les deux mois écoulés.

Au téléphone, Marie m’expliqua que Kim était d’accord pour jouer le rôle d’une fille de sa classe. Elles seraient ensemble au lycée, en terminale, et Marie vivrait une semaine sur deux chez son père. Un jour, le père les surprendrait toutes les deux en train de se gouiner dans la chambre de sa fille. Loin de lui l’idée de la sermonner, il se montrerait plutôt attendri et sensible à la vision de ses deux adolescentes nues sur un lit. Leurs jolis seins, leurs jolies chattes, leurs jolis culs. Et, après un ...

... dialogue qui se voudrait le plus crédible possible, les filles accepteraient qu’il se joigne à elle.

Nous avons accompli ce fantasme le samedi soir suivant. Marie n’avait jamais baisé avec une fille asiatique avant Kim, tout comme je n’avais jamais pénétré la chatte d’une partenaire de cette origine. Pour être plus précis, Kim était coréenne. Assez petite de taille, elle n’avait presque pas de poitrine et son cul semblait ne pas avoir fini de se former. C’était celui d’une fille de quinze ans. Sa chatte était poilue et, tandis qu’elle suçait celle de ma fille, j’ai pénétré la sienne, en levrette, en lui tenant fermement les fesses. Ensuite, à l’inverse, j’ai fait glisser mon gland entre les lèvres de ma fille pendant qu’elle suçait l’anus de la jeune asiatique venue s’asseoir sur sa bouche, face à moi.

Marie fut ravie. Je fus comblé. Et les circonstances firent que Kim revint chez moi un soir de la semaine suivante, toute seule. Nous avons de nouveau couché ensemble et elle est restée dormir avec moi. Le lendemain matin, j’eus l’impression de me réveiller aux côtés d’une gamine toute nue.

Dans le courant de la journée, Marie me téléphona pour me demander comment les choses s’étaient passées avec Kim, la veille. Je lui expliquai, puis ce fut son tour. De son côté, le même soir, elle avait harponné un homme d’une soixante d’années qui avait tenu le rôle d’un vieil ami de son grand-père. Ce n’était pas la première fois qu’elle se tapait un homme de cet âge-là. C’étaient ses ...