1. Première approche d’une sodomie 11 - LA MÉTAMORPHOSE


    Datte: 28/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: VIEULOU, Source: Hds

    Première approche d’une sodomie 11 - LA MÉTAMORPHOSE
    
    Une préparation soignée de l’anus encore inviolé d’Angel, est entreprise sur les conseils et avec l’aide précieuse de Laura, une ancienne actrice bien connue du Cinéma X des années 80. Il faut à présent préparer la belle mature pour l’ultime épreuve.
    
    La date du prochain samedi fatidique devenant inéluctable, Angel est terriblement angoissée par ce qu'elle pressent. Pourtant durant une semaine, je lui ai dilaté son goulet étroit avec une grande attention, me servant alternativement des crèmes, des pommades et des onguents que nous a vendus la brune Laura.
    
    Mon épouse n'éprouve plus de douleur lorsque je fais aller et venir l'olisbos en caoutchouc dans son derrière. Or, malgré cela, elle redoute l'impressionnant phallus de Roland qui va lui percer la pastille et lui ravager sans aucun doute les entrailles. Mais, encore une fois, elle ne peut surseoir à cette expérience, car elle s'est elle-même fourvoyée dans cette escalade inconvenante, d'abord en se prêtant aux jeux libidineux de sa meilleure amie, puis en se faisant baiser par le jeune amant de Katte avec un plaisir qu'elle n'a pu dissimuler, enfin en me faisant des confidences sur ses fantasmes les plus secrets, que je ne me prive pas de lui rappeler.
    
    Ce soir, elle doit accepter encore une fois de s'habiller suivant mes convenances libertines. En effet, je lui ai fait passer une robe en soie de couleur crème, presque transparente. Pour dessous, elle ne porte ...
    ... qu'une guêpière en dentelles de teinte miel, ainsi que des bas fumés d'un ton mordoré, attachés à ses jarretelles. Malgré ses protestations pudibondes, je lui ôte sa culotte, la fais glisser le long des jambes qui frémissent sous mes attouchements, puis, passant ma main entre ses cuisses, je constate en insinuant mes doigts près des grandes lèvres, que la chair est moelleuse presque moite. Le haut de la gaine soutient seulement le dessous de ses seins trop lourds, laissant apparents les mamelons dont j'ai recouvert les bouts d’un rouge à lèvres orangé. Lorsqu'elle marche, la transparence de sa robe ne peut laisser ignorer la nudité de sa gorge et de ses fesses qui tendent le tissu arachnéen, alors que sa vulve fraîchement imberbe se devine aisément.
    
    Notre automobile étant au garage pour une révision, je commande un taxi par téléphone, et c'est dans cette tenue que je lui ordonne de sortir de chez nous et de se rendre dans la rue. Heureusement qu'il est tard, cela nous évite de rencontrer des voisins de notre immeuble, par contre la rue déborde de promeneurs qui se rendent dans les restaurants du quartier. Des sifflets admirateurs retentissent à ses oreilles, et le chauffeur de taxi qui vient d'arriver la reluque sans vergogne. Soudain, elle me souffle confidentiellement à l’oreille qu'elle se sent fière de pouvoir exposer ainsi ses appas, qui, apparemment et malgré son âge avancé ne rebutent pas les admirateurs.
    
    Dans le taxi, un monospace bien pratique, je farfouille ...
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