1. Elle avait le ballon


    Datte: 28/11/2018, Catégories: Hardcore, Humour Auteur: Robertlepieux, Source: xHamster

    ... fait coulisse ma bite dans la paume de sa main puis elle m’a dit que je n’ai pas changé.
    
    - Tu me fais jouir, comme autre fois ? Ton successeur, lui, il ne savait pas et je devais me finir !
    
    - Tu veux que je te prenne comment, lui ai-je demandé ?
    
    - Comme tu veux !
    
    - Tu n’as pas peur que…
    
    - Ah, je me souviens, m’a répondu Marilyn ! Tu était obsédé par ça !
    
    - Je voulais juste…
    
    - Ne recommence pas, sinon je te fous dehors !
    
    Elle n’avait pas arrêté de me narguer avec son cul et je commençais à en avoir marre de sa chatte. Son trou du cul…
    
    Elle s’est penchée en avant et elle a posé ses mains à plat sur le lit. J’ai enfoncé ma bite dans sa chatte et j’ai commencé à limer. Je me souvenais très bien qu’elle voulait toujours que je lui touche les seins. Maintenant, il y avait son gros ventre et ses seins avaient doublé de volume. Je les ai caressés tous les trois puis j’ai attrapé les hanches et je me suis mis à labourer. J’ai dit à Marilyn que c’est bon. Elle m’a répondu que c’est comme avant.
    
    Quand je l’avais traitée de pute en lui faisant l’amour, elle s’était fâchée mais là, elle n’a rien dit. Tout à coup, mon regard a été attiré par un objet sur la commode et que je n’avais pas vu. Je lui ai demandé ce que c’est. Elle m’a répondu de ne pas faire l’idiot puis elle a ajouté que je sais bien que c’est un plug.
    
    - Un plug anal ?
    
    - Oui !
    
    - Tu aimes ça, maintenant ?
    
    Elle m’a répondu qu’elle aime bien.
    
    - T’as changé d’avis ?
    
    Elle ne m’a ...
    ... rien répondu mais elle a fini par me dire qu’elle aime bien le sentir quand elle marche.
    
    - Et tu sors avec ?
    
    - Oui ! Je ne porte même plus de soutif ! Tu m’as assez souvent fait la leçon, a-t-elle ajouté ! Et puis maintenant, j’ai mon ventre pour les soutenir !
    
    J’avais vu. Je me suis cramponné à ses fesses et j’ai repris la saillie. J’étais obnubilé par le plus anal. La partie inférieure était grosse comme un citron et la partie extérieure était ornée d’une sorte de diamants gros comme un pièces de cinq francs.
    
    - Touche-moi les seins !
    
    J’ai lâché sa hanche pour att****r un nichon. Je l’ai caressé, soupesé, bousculé et je me suis accroché à son mamelon. Marilyn m’a dit qu’elle aime ça.
    
    Quand j’ai lâché son nichon, j’ai voulu me raccrocher à sa hanche mais j’ai dérapé et ma bite est sortie du vagin et quand j’ai voulu la renfoncer, j’ai vu l’anus, avec sa rosette si parfaite.
    
    - Qu’est-ce que tu fais, m’a demandé Marilyn ?
    
    - Ça va, lui ai-je répondu ! J’y retourne !
    
    - Qu’est-ce que tu fais, m’a encore demandé Marilyn ?
    
    Dans l’affolement, je m’étais trompé de trou et si elle avait une belle rosette de trou du cul, le trou était très souple et je m’étais enfoncé sans effort.
    
    - Je t’encule !
    
    Elle m’a répondu qu’elle ne veut pas mais j’ai insisté.
    
    - Je t’encule, Marilyn, lui ai-je répété !
    
    De guerre lasse, elle n’a plus insisté. J’ai continué dans son anus puis je lui ai dit que je suis sûr que ça lui plaît. Elle a grogné et elle a grogné à ...