1. La leçon de piano (2)


    Datte: 28/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Jademik, Source: Hds

    ... s’accomplit. Alors qu’elle pompe toujours Serge avec la plus grande application, ses cuisses se desserrent, laissant ma main atteindre l’endroit convoité. Dès que je frotte mes doigts sur le tissu, je devine qu’elle mouille abondamment. J’écarte sa culotte et pose effectivement mes doigts sur un sexe détrempé. Mon mouvement de va-et-vient la fait vite onduler du bassin, aussi je ne résiste pas au plaisir de m’accroupir devant elle et de lui retirer sa culotte (elle m’aide en se soulevant). Je tire un peu son bassin vers moi et commence à l’embrasser à l’intérieur des cuisses, en me rapprochant de sa chatte. Puis je pose ma bouche sur son sexe, ma langue essayant de se frayer un chemin entre ses lèvres moites. Elle est parfaitement épilée comme aujourd’hui la plupart des jeunes femmes, je crois. Le grain et la ligne brisée de ses lèvres sont vraiment à croquer. Son bouton pointe à peine : je l’aide à sortir de sa cachette avec le bout de ma langue, ce qui provoque de premiers gémissements. J’écarte ensuite les petites lèvres et lèche tout le petit intérieur rosé, tentant de forcer l’entrée du vagin avec ma langue. Elle ondule et gémit de plus en plus fortement. Inévitablement, la cadence de sa fellation augmente elle aussi.
    
    Reprenant ma respiration et sentant les jambes de Serge flageoler, j’informe la petite que celui-ci est proche de la jouissance et qu’elle va prendre plusieurs giclées sur le visage si elle ne s’écarte pas. Je lui demande si elle aime l’odeur et le ...
    ... goût du sperme : elle me répond avec difficulté « humm… moyen », ce que je traduis par « pas vraiment ». Je lui conseille donc de « finir » Serge entre ses seins, en branlette espagnole. À peine le temps de lui expliquer l’art et la manière ce cette pratique, que Serge lui envoie en râlant plusieurs jets épais sur la poitrine, dans le cou et le bas du menton. Visiblement marquée, elle reste un long moment effondrée sur son ventre, serrant Serge par la taille, tentant de reprendre ses esprits. Elle est tellement adorable et émouvante, cette petite, que nous restons nous aussi un long moment à la caresser et à l’embrasser.
    
    Après une bonne douche prise en commun et un déjeuner tout aussi bon (Sandra nous a apporté une salade de sa composition), balade en vélo jusqu’à l’abbaye du coin, un vrai havre de paix avec de très bons produits maison que nous ramenons avec nous. Le soir, après le dîner et une petite heure de télé, nous allons nous coucher dans nos chambres respectives. Au lit, alors que je lis un bouquin sur Debussy, en déshabillé, et que Serge, à poil, commence à me peloter, Sandra cogne discrètement à la porte et entre. Un peu penaude et en s’emmêlant un peu, elle nous dit qu’elle aimerait bien ne pas dormir seule ce soir si c’est possible. Évidemment que oui ! Cette perspective inattendue, surtout pour une première nuit, nous remplit de joie. Notre lit est d’ailleurs fait pour trois : il fait deux mètres de large, ce qui n’est pas si courant. Je me lève, retire mon ...