Ma meilleure amie
Datte: 27/11/2018,
Catégories:
fh,
copains,
anniversai,
amour,
Masturbation
Auteur: Hépicurien, Source: Revebebe
... et je t’attendais pour la mettre en lecture.
L’alcool de la veille avait tellement embrumé mon cerveau que j’avais complètement oublié que, sur les deux film que j’avais loué la veille, un des deux était un film porno.
— Lequel as-tu mis ? demandai-je inquiet.
— Je ne sais pas, j’en ai pris un au hasard.
Je m’allongeais sur le lit, à côté d’elle, en priant le bon Dieu et tous ses saints pour que se soit le film d’aventure. Dès les bandes annonces, Nat me regarda et éclata de rire.
— Tu avais vraiment prévu de passer un après midi crapuleux au lit !
— On met l’autre si tu veux ?
— Ah oui et c’est quoi l’autre ? « baises moi par tous les trous » ou « la nympho perverse » ?
— Non pas du tout, c’est un film d’aventure.
— Bien sûr, c’est des « aventures sexuelles ! dit elle en riant.
Au moment où je me levais pour changer la cassette, elle m’arrêta.
— Non laisse le, ça me rappellera des souvenirs.
On regarda le film en silence, car j’étais trop gêné pour faire des commentaires. Les fellations, les pénétrations et les éjaculations s’enchaînaient à l’écran. À un moment, je m’assoupis quelques instants. Un cri de jouissance plus puissant que les autres me réveilla. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que Nat avait glissée sa main entre les pans de ma robe de chambre et se caressait. Je fis semblant de continuer à dormir pour mieux l’épier. La voir se branler sous mes yeux, m’excita et mon sexe se dressa, déformant mon jogging. Nat s’en aperçut, et ...
... retira prestement sa main. Une gêne s’installa entre nous.
— Tu m’as vue ? hein ? bien sûr que tu m’as vue !
— Oui lui répondis-je
— C’est bien ce que je pensais. Tu sais je n’ai eu personne depuis Patrick, ça fait longtemps, et ton film m’a excité, alors comme je pensais que tu dormais… enfin bref tu me comprends ?
— Bien sûr, il n’y a pas de problème.
— Si il y a un problème, tu m’as vue et moi je ne pourrais plus jamais te regarder dans les yeux sans mourir de honte.
— Arrête tes conneries. Ce n’est pas si grave.
— Si ça l’est.
— Que veux tu que je fasse ? que j’oublie ? ça y est j’ai tout oublié.
— Non que tu te branles, me déclara t’elle en me regardant droit dans les yeux.
— Pardon ? tu veux quoi ?
— Que tu te branles.
— Tu n’es pas sérieuse là.
— Si, si. Tu m’as vue, je veux te voir, et puis dans l’état où tu es, me dit elle en désignant mon sexe qui déformait mon jogging, ça ne te fera que du bien.
— Euh tu me fais marcher ?
— Pas du tout, soit tu le fais, ou soit tu ne me reverras plus jamais.
Il faut reconnaître que mon sexe me faisait mal tellement je bandais dur. J’étais, cependant persuadé, qu’elle ne mettrait pas sa menace à exécution, mais qu’elle jouait avec moi pour voire jusqu’où j’irai. Voulant à mon tour la défier, je lui dis :
— Chiche, mais à une seule condition.
— Laquelle ?
— C’est que tu enlèves mon peignoir et que tu te branles aussi.
— D’accord mais déshabille-toi le premier.
Afin de la provoquer, je me suis le levé, j’ai ...