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Vacances Avec Ma Mère
Datte: 14/01/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymikedon, Source: Literotica
... Après ces préliminaires, les 2 hommes ibériques ont soulevé ma mère pour aller la placer sur le lit. Elle était toujours dans un état second, sous les effets de l'alcool, se pensant sans doute dans un rêve. Elle somnolait à moitié, begayant quelques mots : « veux..dormir...mal... » L'un des 2 hispaniques a fouillé dans une valise et en a ressorti des capotes. Il en donna une à son collègue avec un sourire. Ce dernier s'est ensuite avancé pour introduire sa queue au fond de l'intimité de ma mère. « Laissez...moi...pas ça... » L'ignorant complètement, Il a introduis son gland dans son antre. Il maintenait les jambes de sa partenaire avec ses mains. Il a poussé pour aller s'enfoncer le plus loin possible entre ses cuisses. Il coulissait au fond de son utérus en réalisant de puissants coups de reins. Ses couilles heurtaient la peau de ma mère à chaque aller et venu, produisant un petit claquement distinct. Il besognait sans ménagement cette pauvre femme qui était incapable de résister à ses pulsions sauvages. Ses seins bougeaient en rythme en réponse à ces charges. Quelques minutes ont suffis pour qu'il jouisse. Il s'est retiré en poussant un juron. Il n'avait pas réussit à ...
... contenir son orgasme et avait jouit trop vite à son goût. Son collègue prit la relève, gardant un rythme toujours aussi élevé. Il agrippa les seins de ma mère pour jouer avec pendant qu'il s'accouplait. Contrairement à tout à l'heure avec la fouille ou il l'avait caressé, il était cette fois nettement plus dur, en malaxant et en pinçant sans ménagement ses tétons. A ma surprise, ma mère haletait. Sa respiration s'était accélérée et elle poussait de petits couinements. C'était là une preuve qu'elle prenait son pied. Il a finit par jouir à son tour. Il a retiré la capote de sa queue et a présenté sa bite bandée comme jamais devant le ventre de ma mère. Dans un ultime orgasme, plusieurs jets de son foutre ont jaillit pour venir s'étaler sur les seins de la pauvre femme. Les 3 personnes étaient exténuées. Chacun luisait de transpiration. Ma mère était elle aussi fatiguée et elle commençait à sombrer dans un sommeil pour cuver. Mais je ne voulais pas que ça s'arrête. Je voulais que ça dure.. encore et encore. Et j'allais très vite le faire savoir. J'ai demandé aux espagnols d'aller se reposer. Avec un sourire, ils ont quitté la chambre, non sans m'avoir remercié et fait des clins d'œil.