1. Amande 4


    Datte: 27/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mysterious1991, Source: Hds

    J'aime être en toi
    
    Si «Amande» continue de bouger à l’unisson avec moi et de répondre à mes coups de butoir comme elle le fait, le point de non-retour sera inéluctable.
    
    – Tu as la plus belle peau du monde, «Amande». J’aime… être… en… toi.
    
    J’ai de plus en plus de mal à respirer. Mon cœur bat la chamade.
    
    D’une main, j’étreins ma petite blonde. Je glisse mon autre main au niveau de son entrejambe pour y chercher, y toucher et y caresser la petite bombe sexuelle qu’est son clitoris. Et là, je trouve sa main. Elle se caresse déjà. De ses doigts, elle effectue de doux mouvement circulaires. Je pose ma main sur la sienne. Je l’aide à atteindre ce paroxysme, ce nirvana, cette petite mort.
    
    Elle tourne la tête vers moi. Elle me cherche du regard. Elle me regarde avec le regard d’une jeune fille qui tomberait amoureuse et qui ferait l’amour pour la toute première fois. Elle n’a pas besoin de me parler. Ses yeux à eux seuls me crient la confiance qu’elle me donne. Sa bouche recherche la mienne. C’est un baiser violent. Le baiser de deux corps et de deux âmes affamées, bientôt épuisées. Nos salives se mélangent. Nos langues fricotent ensemble. Nos lèvres se moulent entre elles. Qui embrasse qui ? Nous nous faisons des petits smacks.
    
    – T’arrêtes pas ! T’arrêtes pas ! Oh… Oh… Que c’est bon… Oh… Oh… Oh… Encore ! Encore ! Encore ! Oh… O mon dieu… O mon dieu… Je vais jouir… Je…vais… Aaaahhh…
    
    Elle ne se retient plus, et pousse un grand cri. Son vagin se contracte ...
    ... violemment, et enserre encore plus ma verge. Elle jouit…
    
    La violence de son orgasme provoque irrémédiablement ma perte et me conduit, moi aussi, au septième ciel. Après encore quelques coups de reins puissants, je m’abandonne. Je vois des étoiles. Je pousse un cri libérateur, presque bestial. Je jouis en elle en remplissant la capote de mon sperme.
    
    (…)
    
    Nous nous sourions comme des adolescents qui viennent à peine d’avoir fait l’amour pour la première fois. Je me retire en douceur d’elle. M’enlever de son fourreau d’amour me fait pousser un tout petit gémissement. Je retire la capote et je la jette à la poubelle.
    
    Nous ne nous quittons pas des yeux. Je remarque que sa peau est encore rouge. Que ses yeux turquoise brillent d’une lueur que je ne lui connaissais pas encore. Elle doit être en train de savourer son orgasme. Pour ma part, je me sens épuisé, et limite, je me demande comment je vais réussir à aligner deux pas correctement. Mais, au moins, je me sens bien. Apaisé. Repu.
    
    Elle s’agenouille. Elle tend la langue, et lèche le peu de ma jouissance qu’il me reste sur le bout de mon sexe. Elle ne prend pas le risque de me prendre dans sa main. Je suis redevenu trop sensible.
    
    – Merci. Merci. C’était… délicieux. C’était parfait. Tu sais t’y prendre avec les femmes. Je savais que je pouvais te faire confiance. C’était comme si tu connaissais mon corps et ses moindres petits recoins depuis toujours. Tu es plus qu’un petit coup comme ça, vite fait bien fait. Ça, je tâcherai ...
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