De Hervé à Vanessa, chienne soumise (33)
Datte: 27/11/2018,
Catégories:
Transexuels
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... revoir... Snif, snif... Plus jamais...
— T’inquiètes, ma puce, je te garantis (un peu vite à ma grande honte, mais là, y à urgence) que cela va cesser. Vas dans la cabine d’équipage te reposer. J’irai te rechercher un peu plus tard.
Je lui fais un bisou sur le front et comme une grande sœur, je la prends dans mes bras. Après cette étreinte, je file plage arrière.
— ADELIA, AVEC MOI...
Ordre qui ne supporte aucune contestation, elle se lève et me rejoint en passerelle.
— Peut-on joindre Émile, c’est urgent.
— Oui, oui. Mais qu’est-ce qui se passe ?
— Tu vas vite comprendre. Axiana, voulez-vous bien attendre dehors, s’il vous plait..
Adélia me tend un combiné de téléphone satellite. Une sonnerie plus tard, j’ai Émile qui me répond tout affolé...
— Vous avez un problème, un incendie, le bateau coule ???
— Non, non, Papoune tout va bien. C’est Gladys...
Je raconte, devant les yeux médusés d’Adélia, la triste vie de notre Glagla. Émile est sans voix. Maria, qui devait se trouver dans le coin, où sous le coin, arrache le combiné des mains d’Emile et me crie presque :
— Vanessa, occupes-toi bien d’elle, je m’arrange de ses soi-disant parents... Tu m’as bien compris Vanessa, je t’en confis la garde. Protège là, si elle a dit qu’elle voulait se suicider... Oh, putain, j’en mourrai...
Émile reprend le combiné. Il me dit de faire attention, qu’il sera à Marseille avec Maria, de ne pas trop en dire à Gladys et de prévenir tout le monde à bord ...
... pour éviter l’irréparable, surtout avant notre arrivée à Marseille. Je lui promets de lui ramener Gladys en pleine forme. Sur ce il me répond.
— Je sais, Vaness, je sais... J’ai confiance. Tu es ma fille... Je t’aime Vanessa... TUTTUTTUTT.
Je regarde Adélia qui est au bord des larmes.
— Ah, non... Tu parles d’une croisière...
Je descends plage arrière. Sur un ton directif, paternel ou maternel que je ne me connaissais pas, j’explique la situation. Les filles, choquées, effarées, outrées, me disent que j’ai bien fait d’appeler Émile et me posent moult questions sur la réaction de notre papy grec. Je leur dis que c’est à Maria qu’ils vont avoir affaire. Elles pouffent de rire.
Je descends l’échappée qui mène au pont de l’équipage pour aller chercher ma petite protégée. Je m’approche de la cabine, la porte n’est pas fermée. J’y glisse un œil et c’est pour voir les trois petites matelotes en train de réconforter Glagla... Elle est allongée sur la table et les trois gougnottes s’affairent sur le corps dénudé et offert de Gladys. Deux des trois sœurs ont ouvert son compas au maximum, la troisième lui mangeant l’abricot. Charmante petite scène pornographique. Les deux premières lui lèchent les cuisses, les mollets et les pieds tout en lui travaillant les seins, bref, tout y passe. Au son que Gladys émet, elle ne peut qu’apprécier. Je les laisse et monte faire mon rapport à mes filles. Quand je les retrouve, Adélia n’est plus là, elle est remontée en passerelle. Je ...