J'appartiens à Snake désormais Ch. 01
Datte: 27/11/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
... semblait impossible. Je ne voulais pas me plier à ses dictats. J'irai et je lui expliquerai que oui, je m'étais laissé emportée dans des correspondances osées, mais que ce n'était que pour exciter mes inter-locuteurs. Je n'avais jamais eu l'intention de faire quoi que ce soit avec un autre que mon mari! ...... Jamais! .....
Je jetais un oeil sur le plan qu'il m'avait envoyé. La rue se trouvait à une paire de kilomètres mon domicile. Je devais quitter mon quartier, prendre la route principale et au prochain croisement je me retrouverai dans la rue Lawton. Je détestais l'idée que ce pervers habite aussi près de ma maison! ......
Il était temps d'y aller et de résoudre ce problème. Je montais dans ma voiture et démarrais. La maison était isolée. La pelouse avait besoin d'être tondue. Il y avait une grosse moto rangée hors du garage, juste à coté d'une camionnette avec la vitre arrière couverte de badges adhé-sifs.
Je passais devant, sans m'arrêter la première fois. Je n'arrivais pas à me résoudre à m'arrêter. Mais finalement, sachant que je n'avais pas le choix, je me garais dans le virage face à la maison. Je me dirigeais len-tement vers l'allée du garage, j'étais si nerveuse que j'avais du mal à res-pirer.
J'entendais de la musique provenant de la maison, je dus frapper plu-sieurs fois à l'huis avant que quelqu'un ne me réponde.
L'homme qui ouvrit la porte avait dans les 30, 35 ans il était grand et fort. On aurait dit un ancien haltérophile.
Il était encore ...
... musclé mais il commençait à bedonner, il semblait assez bienveillant, je commençais à suspecter que je n'aurais pas à négocier avec lui, il me semblait familier, mais je ne saurai pas dire pourquoi.
Il me regarda un moment, sans dire un mot, puis repartit en tenant la porte ouverte pour m'inviter à entrer.
Je tentais de lui dire que je ne voulais pas entrer chez lui, que je voulais juste discuter avec lui, je balbutiais et bégayais finalement il me coupa :
- "Ta gueule grognasse et magne-toi le cul d'entrer! ..."
Je n'aurai pas été plus choquée s'il m'avait giflée, personne ne m'avait jamais parlé ainsi, ou utilisé ces termes en ma présence, j'aurai aimé pouvoir le gifler, au lieu de cela il s'approcha vers moi et me saisit par la nuque pour me pousser dans le salon.
Une fois à l'intérieur il claqua la porte et s'assit dans un vieux fauteuil, pendant une longue minute il me regarda fixement, je me figeais sous son regard, il était évident qu'il prenait un grand plaisir à me voir apeu-rée, humiliée, choquée.
J'ouvrai la bouche pour discuter de ma situation, bien que je ne sache pas vraiment ce que je pouvais dire, tout ce que je savais c'est que je devais parvenir à m'en sortir sans trop de dégâts.
- "T'es vraiment stupide, ma salope! ..... Est-ce que tous tes amis savent à quel point t'es paumée? .... "
- "Quoi..." m'insurgeais-je outrée. "En aucun cas! .... Et je vous prie-rai de me parler sur un autre ton et en d'autres termes! ... Je n'en tolérerais ...