1. Spin-off « les mystères de l'asie » (3)


    Datte: 11/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Bobby28, Source: Xstory

    ... toute la journée, alors je pris la décision de chercher du travail, même si nous n’en avions pas besoin financièrement, il fallait que je m’occupe et que je pense à autre chose qu’à une bite.
    
    Alors j’ai commencé à passer des entretiens, mais le fait que je sois enceinte et que je n’ai aucune réelle qualification ne m’aidait pas.
    
    Et puis un jour, alors que je sentais des bouffées de chaleur me faire bouillir les sens, je décidai de m’habiller sexy, du moins autant que me le permettait mon ventre rond.
    
    Je devais passer un entretien dans la matinée, je partis habillée d’un tailleur assez court qui moulait parfaitement mes fesses, et d’un corsage déformé par mes seins qui étaient passés du 90D, au 100E, j’avais des seins énormes.
    
    J’arrivais encore à fermer mon corsage sur mon ventre, mais je laissais les boutons du haut détachés, ce qui me faisait un décolleté très profond, surtout qu’à cette époque, j’avais les tétons très sensibles, et je ne supportais plus les soutiens-gorges, je me maquillai et enfilai tout de même un petit string, des talons hauts, et partis pour mon entretien.
    
    Je sentais les regards des hommes sur mes seins et sur mes fesses dans la rue, ce qui faisait mouiller ma chatte en manque, j’arrivai à mon entretien dans un état d’excitation très avancé et je pense que Michel l’avait bien remarqué.
    
    Il me posa pas mal de questions, sans lâcher mes gros nichons des yeux, j’avais chaud, je n’en pouvais plus de ces bouffées de chaleur, sans m’en ...
    ... rendre compte, je secouai mon corsage pour faire entrer un peu d’air entre mes gros seins, un bouton lâcha et agrandit mon décolleté, qui s’ouvrit jusque sous mes seins.
    
    Michel pouvait maintenant voir quasiment mes seins tout entiers, seuls mes tétons restaient encore cachés par mon corsage, je le voyais baver d’envie.
    
    Ma chatte réclamait une bonne queue pour se faire fourrer, alors lorsqu’il se plaça derrière moi et posa ses mains sur mes épaules me disant :
    
    — A la vue de vos qualifications, j’ai peut-être un poste pour vous.
    
    — Ah oui ?
    
    Je sentais ses mains glisser vers l’avant de mes épaules, et frôler mes gros seins, sans m’en rendre compte, j’avais bombé la poitrine et mes tétons étaient maintenant à moitié visibles.
    
    Michel continua à me masser les épaules et descendait doucement ses mains en me disant :
    
    — Oui, je pense avoir un poste pour vous, mais il faut que je vérifie vos aptitudes.
    
    — Très bien.
    
    Il avait maintenant les mains sur le dessus de mes gros nichons, je me reculai contre le dossier du fauteuil, et ses mains prirent possession de mes seins, ses doigts s’enroulèrent autour de mes tétons qui pointaient fièrement.
    
    Je finis de défaire le reste des boutons de mon corsage et me retrouva à moitié à poil dans son bureau.
    
    Je sentais sa bite bien raide dans son pantalon, contre ma tête, je ne pensais qu’à cette bite, je le laissais me peloter en gémissant de plaisir.
    
    Il fallait que je me fasse fourrer par cette bite, j’étais trop en ...
«12...131415...18»