1. Enfant très bien gâté par dame nature


    Datte: 27/11/2018, Catégories: Première fois Auteur: Butineur84, Source: Hds

    ... régler très haut, je voie ses cuisses entre ouverte avec sa jupe relever sur ses genoux, elle a une culotte blanche très serré qui laisse apparaitre la forme de sa vulve charnue, elle me sourit ;
    
    (Sophie) - Alors comment as-tu fait ton compte ?
    
    - Je ne sais pas comment j’ai fait, mais voilà le résultat !
    
    (Sophie) – tu devais courir après des filles !
    
    - Je, je ………………. !
    
    (Sophie) – sa doit bien te démangé, a l’âge que tu as !
    
    Je ne répondis pas, elle me sourit, ma mère me montrât du linge propre pour quand je sortirais, et le rangeas dans le placard,
    
    Elle me fit une bise et me dit ;
    
    - Tu n’as besoin de rien, mon fils !
    
    - Non, merci man ! (Sophie m’embrassa sur le bord de la bouche, comme si elle avait glissé)
    
    Elle prit congé avec Sophie, la journée passa, le soir, après que l’on m’est changé le bandage, je m’endormie comme un loir.
    
    Le lendemain matin, à 9h30, ma mère ayant fait le nécessaire pour la sortie, une infermière m’apporte une paire de béquille, et me donne une enveloppe avec une note « à lire chez vous »
    
    Un taxi nous attend et nous voilà partie, ma mère me dit ;
    
    - Tu as un arrêt de trois semaines avec un kiné a domicile pour la rééducation de ta cheville !
    
    - Bien, mais je ne vais pas pouvoir sortir avec cette chaleur (il faut dire qu’il faisait 34°)
    
    - Non, et Sophie va se relayer avec moi pour te surveiller et te faire des révisions, j’ai vue avec ton professeur principal pour tes devoirs !
    
    - Mme B…………, tu es allé voir ...
    ... Mme B………… !
    
    - Oui, elle est très gentille, elle a même proposé de venir te voir !
    
    Ont arrivent à la maison, je suis gauche avec ces béquilles, Sophie arrive pour nous aider ;
    
    (Sophie) – alors, on va être chouchouter à la maison !
    
    Je lui fais un sourire, et on monte les escaliers, avec ses béquilles, je soufre, mais en montant a cloche pieds, j’y arrive, arrivé au 2eme étage, ma mère ouvre et tout le monde entre, je m’installe au salon, sur le canapé, ma mère part dans sa chambre et Sophie s’installe en face de moi, sur un fauteuil, je flâné dans mes pensées, quand je fus attiré par ma mère qui amener un plateau avec du thé et un biscuit ;
    
    - Sophie, du thé ?
    
    - Oui, merci !
    
    - Sergio, tu en veux ?
    
    - Non, non, merci !
    
    Sophie se penche pour prendre la tasse, son chemisier étant déboutonné sur deux ou trois boutons, je surpris sa poitrine opulente, elle se redresse et me sourit, j’éraie dans mes pensées, ma mère et Sophie parler comme d’habitude, je distingue ces mamelons érigé qui frotte la toile en coton du chemisier, une des béquilles tombe du fauteuil, je me penche pour la ramassé, Sophie qui été la plus proche de moi, ce lève pour m’aidais, elle s’appuie sur l’accoudoir pour prendre la béquille , un de ses seins se comprimas, ce qui laissas de la place pour distinguer l’autre très clairement, il était de belle tenue, rond avec ce mamelon que je deviner, granuleux et charnue.
    
    -3-
    
    L’heure du repas sonnas, Sophie prie congé ;
    
    - Je reviens dans ...
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