Un vrai coup de foudre (1)
Datte: 27/11/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Quinto93, Source: Xstory
Je m’appelle Claudia P, je suis française d’origine portugaise, j’ai 23 ans et je travaille au secrétariat d’une start-up créée il y a environ six ans depuis deux semaines. J’ai déménagé ici, à Orléans, pour le travail. Nouvelle ville, nouveau job (premier en réalité) et nouvelle vie. Je suis venue avec ma meilleure amie Clémentine. Pour vous décrire comment je suis, mes cheveux sont bruns et naturellement lisses, m’arrivant avant mes épaules. Je mesure 1m71 avec un corps fin, un beau ventre plat avec une poitrine mesurée à 80A, mais bien formé grâce aux sports. Et pour finir, un super fessier bombé grâce à la danse.
Avec Clémentine, belle nana à la chevelure noire en carré, de ma taille, dotée d’une énorme paire de seins qui m’a fait jalouser à mon adolescence (95F, mais ne fantasmez pas, vous n’aurez que cela) qui m’a suivie ici pour travailler à l’accueil de la start-up ; on a décidé de se rendre au bar du coin pour fêter nos premières semaines. Clem s’est changée dans la voiture pour se mettre en robe d’été avec un gros décolleté mettant en valeur ses très gros seins dont les tétons pointus font remarquer l’absence de soutien-gorge. Moi, je suis restée comme je suis, c’est-à-dire avec un chemisier blanc, une jupe noire, des baskets blanches, mes yeux noisette légèrement, mais bien maquillés (je n’ai pas besoin de trop en faire, car j’ai de base, un joli visage. Ce n’est pas de l’arrogance, je suis très agréable à regarder pour beaucoup, homme et femme confondue) avec ...
... ma pince dans mes cheveux et mes lunettes transparentes (je parle des branches, pas des verres) sur mon nez, ainsi que ma peau naturellement bronzée, bien évidemment.
La soirée se passe, on se retrouve à papoter avec trois mecs : Karim, d’origine algérienne, Dorian et Lorenzo, d’origine italienne. L’italien est mignon, les deux autres : pas mon style. Cet italien ne semble pas s’intéresser à Clémentine contrairement à ses deux amis, mais à moi. Il me lance de beaux regards et sourires que je lui rends volontiers, mais on ne se parle pas vraiment. Le moment vient où mon amie part danser avec les deux bonshommes. Je ne m’étais intéressée qu’à Lorenzo, qui est un jeune journaliste sportif dans le journal d’Orléans dans la section sport. Donc, j’étais contente de me retrouver avec lui.
— Tu n’es pas très bavarde. Tu n’es pas sociable ou tu nous aimes pas ? me demande-t-il, charmeur.
— Aucun des deux. Il me faut juste un temps d’adaptation des personnes pour me montrer. Et puis, je ne vais pas raconter ma vie à des inconnues. Par contre, ça n’a pas l’air de te déranger à toi, si j’en crois à ce que tes amis ont raconté sur tes exploits au lit.
— Ça t’a dérangée qu’on parle de cul ? Ne me dis pas que tu es coincée ?
— Pourquoi serais-je coincée ? demandé-je.
— Bah, je sais pas... Les Portugaises avec la religion... Vous avez un peu la réputation d’être frigide.
— C’est pas sympa ça ! dis-je d’un air faussement énervé. Ce sont des amalgames. Et puis en Italie, ...