Dentiste complice
Datte: 26/11/2018,
Catégories:
fh,
médical,
Oral
nopéné,
confession,
f+medical,
Auteur: SecretaireWanted, Source: Revebebe
... bat à tout rompre mais s’apaise.
Sa main quitte enfin ma bouche. Je n’ai plus envie de crier, mais ne suis pas en état de me lever. Je garde toujours les yeux fermés, je me sens protégée ainsi. J’ai eu envie de lécher cette main ou ces doigts, ou plus encore, mais je m’abstiens. Je ne voudrais pas prendre une initiative qui ne soit pas prévue.
Il s’est relevé, je le sais, je le sens, je l’entends. Cet homme se déplace comme un félin racé. La musique d’ambiance revient à mes oreilles. Mon cerveau l’avait comme bloquée. Je n’aime pas les musiques de fond un peu nostalgiques des cabinets médicaux vieillots. Comme un cache-misère, cette musique se pose sur les souffrances physique ou morale des gens et de leur secret médical. Mais à cet instant précis, cette musique est pour moi la plus belle des berceuses.
Ses mains redescendent fermement ma jupe sur mes cuisses, ces mêmes mains qui l’avaient retroussée sur mes hanches. Mon sexe est tout humide, ma peau mouillée de cette langue qui m’a envahie et pénétrée. Mes cuisses sont comme collées au fauteuil, probablement en cuir. Je crois que je n’ai jamais mouillé autant qu’ici ce soir.
Puis il referme les boutons de mon chemisier. Mes tétons sont encore tout gonflés.
Quand j’étais entrée dans la salle d’attente à 17 h, je n’en menais pas large. La nuit précédente je n’avais pas trouvé le sommeil, tournant et retournant dans mon lit. Je m’étais réveillée vers dix heures du matin en me caressant. Refusant de me faire ...
... jouir, j’étais partie faire un jogging. De nouveau, sous la douche, la tentation avait été grande de m’autoriser un plaisir solitaire. Pour me changer les idées, j’avais alors dévalisé ma garde-robe à la recherche du plus bel ensemble.
Ses instructions étaient pourtant fort simples. Une chemise blanche sans soutien-gorge et une jupe noire sans culotte. Cela ne m’avait pas empêchée d’essayer plein d’autres ensembles, au cas où. Il ne m’avait pas dit comment aller jusqu’à chez lui ainsi vêtue. Nous étions en été et je ne pouvais mettre un manteau pour protéger ma nudité. Dans mon miroir, il me semblait ne voir que mes tétons sous le tissu de ma chemise blanche. Et je n’aimais pas la sensation de porter une jupe sans culotte. Je ne me sentais pas à l’aise ainsi.
J’avais donc sonné au cabinet du dentiste vêtue de mes sous-vêtements. Je fus rassurée de trouver à côté de la salle d’attente, un cabinet de toilette dans lequel je pourrais me les ôter. Il y avait cinq à six personnes qui attendaient pour les trois dentistes. La secrétaire, dans le fond, m’ignora totalement, affairée dans des papiers et au téléphone, même quand je lui annonçai ma présence, sous un faux nom.
— Installez-vous, il ne va pas tarder.
Cela ne me rassura pas, bien au contraire. Le fait que sa présence n’allait ne pas tarder me faisait réaliser l’échéance du terme toute proche.
Dans le cabinet de toilette, il me sembla que tout le monde dans la salle d’attente entendait ma culotte glisser à mes pieds ...