Banquière perverse (28)
Datte: 26/11/2018,
Catégories:
Divers,
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
Rappel du chapitre précédent :
Selon les critères de Jelila, nous avons fini par lui trouver «son homme idéal ! ».Gladice n’avait pas pu résister à l’envie d’essayer le phallus black et gigantesque de notre hôte. Elle me demanda, en preuve d’amour, que je me fasse enculer par le monstre. Sans hésiter un instant, je l’ai fait au début par amour, et ensuite par plaisir. Même si la douleur de mon anus défoncé fut violente, mon plaisir approcha de l’extase. Je n’ai jamais pris un tel pied quand ma belle vicieuse me mit sa main dans mon trou du cul béant. Elle prit un malin plaisir à agiter ses doigts dans mon boyau jusqu’à provoquer chez moi un orgasme anal.
Pour rappel, nous avons, depuis longtemps, pris l’habitude de nous nettoyer systématiquement le cul, quand il le faut, grâce aux WC japonais que Madame à fait installer dans toute la maison.
Quant à Gladice, nous l’avions remplie copieusement par tous les trous jusqu’à l’emmener vers un sublime orgasme. Mais le SMS de Jelila, que reçu ma Chérie, mit fin à notre soirée. Elle avait décidé de rentrer plus tôt et nous devions la récupérer le lendemain matin à 9 heures, àRoissy avec Heubi.
— ooOoo —
C’est l’été et malgré l’heure matinale, il fait déjà chaud. Après une courte nuit, nous nous préparons à nous rendre à l’aéroport. La tenue de Gladice change de la minijupe habituelle, car elle a revêtu une minirobe bariolée de roses ; elle ne porte, bien évidemment rien dessous. Quant à moi, j’ai opté pour un bermuda ...
... et un tee-shirt noir de grandes marque avec sur la poitrine une arabesque en forme de cercles concentriques blancs en relief. Heubi nous demande s’il est possible de passer là où il cohabite avec un pote à lui, afin de récupérer quelques vêtements. Il nous avoue être dans une situation matérielle compliquée, et se réjouit d’avance si Madame voulait bien de lui.
Vacances obligent, le parking de l’aéroport est déjà bien rempli. Après avoir tourné dans le parking, je trouve enfin une place pour stationner la Mercedes de Jelila. Nous nous précipitons vers la porte A, mais il n’y a personne ; après vérification, son avion est annoncé comme arrivé. Je saisis mon téléphone :
[SMS, Jelila, Moi]
> Jelila ! Es-tu arrivée ?
< Oui, je suis à l’extérieur ; à l’arrêt minute.
> Ne bouge pas j’arrive ! Gladice et Heubi te rejoignent.
< OK, je vous attends !
— Gladice, Jelila est à l’arrêt minute ! Toi et Heubi vous allez la rejoindre le temps que j’aille chercher la voiture et je vous récupère.
— Ça marche ! dit-elle en entrainant notre ami.
Je cours récupérer la voiture et me rends directement au point de ralliement prévu. Grâce à la stature de Heubi et aux signaux de sémaphore d’heubi, il m’est très facile de les retrouver. Arrivé à leur hauteur je constate que l’ambiance est bonne et que Jelila semble ravie de la rencontre avec Heubi.
Après avoir chargé les bagages et rapporter le –Caddie-, nous nous installons dans la voiture. Comme à son habitude, Jelila ...