1. OLIVIER 06 PREMIER VERROUILLAGE


    Datte: 25/11/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    OLIVIER 06
    
    PREMIER VERROUILLAGE
    
    Je savais déjà par expérience que les premiers matins étaient les plus dures, et en plus je prévoyais de faire durer une semaine complète la première partie de son entraînement. Il fallait le calmer.
    
    Je prenais un gode dans son tiroir, le lubrifiais comme il faut. Je faisais signe à Olivier de se retourner sur le ventre et doucement lui enfonçait le gode dans le cul. Il gémissait de plaisir, je m'amusais avec le gode que je poussais bien à fond et retirais presque complètement.
    
    Au début si ça résistait je lubrifiais un peu plus, par la suite si ça résistais je forçais. Je faisais glisser le gode lentement, puis plus vite. Bien à fond, j'appuyais et lui imprimais un mouvement circulaire, à chaque mouvement il lui appuyait sur la prostate et les râles de plaisir d'Olivier m'annonçait que je touchais le bon endroit.
    
    Suivait ensuite un long moment de mouvements lents et amples. En prenant bien le temps d'appuyer sur la prostate et, toujours, à chaque fois les gémissements d'Olivier.
    
    Je jouais du gode en l'enfonçant, le retirant puis l'enfonçant de nouveau. Toujours avec de lents mouvements bien amples. Là c'est l'anus que je stimulait. Une sorte de massage contre le muscle anal. Ça aussi c'est très agréable, en ce qui me concerne je pense que c'est ce que je préfère.
    
    Le gode est plus large à son extrémité, il y a la forme du gland, ensuite il devient plus fin, pas beaucoup mais plus fin tout de même. En son milieux il est ...
    ... de nouveau plus large pour terminer plus fin à sa base. Quand il entre et ressort du cul il le dilate et le laisse se resserrer, même avec mouvement lent les sensations sont terrible.
    
    Le visage d'Olivier n'exprimait plus que du plaisir, il avait les yeux fermés, la bouche ouverte et de temps en temps un gémissement de plaisir se faisait entendre.
    
    J'accélérais, Olivier se redressait et gémissait plus for. Je ralentissais il se laissait retomber en avant, appuyé sur ses coudes. Il penchait la tête et la retenait entre ses mains. Il tremblait.
    
    Je savais qu'il n'était pas loin de l'orgasme, le plaisir devait être intense. Ma queue prenait toute la place dont elle disposait et poussait contre les bords de sa cage. Elle devrait pourtant savoir depuis le temps que c'était sans espoir. J'étais frustré, concentré sur le seul plaisir de mon compagnon.
    
    Je lui caressais les couilles, elles formaient un boule bien ferme qui était comme attachée par le cock-ring en dessous et heurtait la cage de chasteté au dessus. Sa queue était aussi développée que la mienne. Il bandait, on ne voyait rien mais il bandait. Avec la main je le sentais bien.
    
    Il avait maintenant un souffle saccadé, rapide. Il poussait des gémissements qui ressemblaient à des plaintes, un peu comme s'il pleurait. Je sentais alors couler dans ma main son sperme. Il jutait, il jouissait et moi je l'enviais. Je mettais bien appliqué et j'avais réussi ce que je voulais faire.
    
    J'aurais tellement aimé être à sa ...
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