1. Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (19)


    Datte: 25/11/2018, Catégories: Trash, Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory

    Il s’est passé 15 jours après cette histoire de cookies, le mercredi avant le weekend de l’ascension, Valentine a oublié son portable le matin à la maison. Elle était pourtant très prudente et secrète avec depuis quelques temps, le gardait toujours avec elle, l’éteignait le plus souvent à la maison et avait mis un code qu’elle n’avait pas voulu me donner : « quand je t’achète un truc, j’aime bien que ça reste une surprise mon amour ». J’avais apprécié cette attention. Depuis la soirée au lycée, elle était aussi plus hautaine avec moi, plus exigeante aussi. Un soir je me suis glissé contre elle.
    
    — J’ai envie de toi mon amour.
    
    — Mmmm je sais bébé.
    
    — Je veux te faire l’amour.
    
    — Oh, mon chéri, mais je préfère que tu me lèches.
    
    Je l’ai léchée et pour la première fois elle a vraiment refusé que je la baise.
    
    Elle assumait aussi de plus en plus mon côté fétichiste des pieds et talons. Chaque matin, avant de partir, elle me faisait lécher ses escarpins, bottines, sandales, bottes, cuissardes. Elle me regardait très hautaine quand je le faisais. Elle s’habillait sexy depuis longtemps, mais un peu plus depuis quelques semaines. Jupes encore plus courtes, talons plus hauts, décolletés plus profonds, avec ses gros seins. Quand je le lui fis remarquer, avançant qu’étant prof au lycée, c’était peut-être un peu trop, elle m’a répondu cinglante :
    
    — C’est vrai qu’en plus, même les élèves de secondes sont plus grands et costauds que toi.
    
    Ce jour-là, j’ai donc trouvé ...
    ... son tel, allumé, posé dans la salle de bain, elle l’avait clairement oublié là. Je travaillais de la maison, je n’ai pas résisté longtemps, je l’ai pris et me suis installé dans le canapé. J’ai commencé par le journal d’appel, je n’ai rien trouvé d’anormal, des collègues, ses copines, et Théo. Plusieurs fois notamment le lundi d’avant. Puis les sms et whatsapp. Et là mon cœur s’est arrêté. Je suis d’abord tombé sur des échanges avec sa copine Fanny :
    
    — Il est si gros que ça ?
    
    — Oui. Et surtout il baise comme un dieu. Un vrai étalon ;-)
    
    — Chanceuse ! Et Mat le sait ?
    
    — Non, mais j’aimerais lui dire. Ne plus me cacher.
    
    Et il y avait de nombreux échanges avec Théo. Celui du lundi, deux jours avant:
    
    — J’ai envie que tu me suces.
    
    — Ca tombe bien j’ai faim.
    
    — On va chez moi à midi ?
    
    — Non, chez moi, j’ai envie que tu me baises dans notre lit.
    
    — Salope. Et que ton cocu se couche dans vos draps le soir.
    
    — Ouiiiii, avec ton odeur.
    
    — Putain, tu me fais bander.
    
    Un autre qui datait de mardi :
    
    — Alors il a bien dormi ?
    
    — Lol, il s’est rendu compte de rien. Il m’a léché.
    
    — Ah merde, j’aurais du jouir en toi alors.
    
    — Mmmmmmm, arrête ça me fait mouiller.
    
    Ensuite je suis remonté dans le temps, échange de sms le vendredi soir après la soirée au lycée :
    
    — Salope, tu m’as fait trop envie ce soir.
    
    — J’ai senti oui...
    
    — Tu m’étonnes je bandais comme un fou contre cul.
    
    — Et moi je suis encore toute trempée.
    
    — Il est encore plus nul ...
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