1. Songe d'une nuit d'hiver


    Datte: 25/11/2018, Catégories: fh, hplusag, hagé, couple, plage, amour, intermast, Oral pénétratio, tutu, conte, merveilleu, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe

    ... le brun. À mon tour, j’envoie mon dernier vêtement rejoindre le sac. Monsieur Kiki, comme tu l’as surnommé, te donne une belle idée du désir que j’ai de toi. Je te veux, très fort. Tendu vers toi, il s’offre à tes yeux, orgueilleux, (prétentieux ?), son gros gland, rouge de plaisir d’être dévoré du regard, émerge du prépuce, attendant que tu l’empoignes comme tu sais si bien faire pour le libérer. Un pas nous sépare, il ne nous faut qu’une fraction de seconde pour le franchir. Tes bras se referment autour de mon cou, mes mains se rejoignent sur tes reins, juste au-dessus de tes tendres fesses. Lorsque tes seins se collent contre ma poitrine, j’en sens la douce chaleur et leurs pointes gravent dans ma chair l’appel de ton corps. Nos lèvres se joignent, nos langues se nouent. Les yeux fermés, tanguant comme un bateau ivre, tu appuies ton ventre contre le mien. Calé, roulé entre nous, mon sexe gonfle encore d’envie et de désir. Si nous n’étions pas « raisonnables », il suffirait que je te soulève, comme la plume que tu es, pour t’empaler, pénétrer au fond de toi, m’y caler, m’y blottir, te faire sentir à quel point je t’aime. Mais non, pour que la fête soit totale, il nous faut attendre. Il faut que mes mains caressent ton dos, tes épaules, tes reins. Il faut que nos lèvres échangent des secrets que seuls nos corps peuvent entendre. Il faut que le désir que nous avons l’un de l’autre aille au-delà de la folie, que nous ne puissions plus rien contrôler. Comment sommes-nous ...
    ... arrivés à nous allonger sur les sorties de bain sans nous séparer ? Comment avons-nous pu glisser nos mains entre nos corps si étroitement collés ? Mes doigts agacent tes tétons maintenant tendus, durs comme deux diamants, les pincent tendrement, les roulent et les étirent. Tes dents mordent mes lèvres, mais c’est toi qui gémis. Tes mains enserrent la colonne de chair qui bientôt va nous réunir. Tu la masses, tu la branles doucement, comme tu aimes tant le faire. Dans mes oreilles, tu glisses des petits mots tendres, des compliments qui m’excitent encore plus. Mes mains quittent tes seins, effleurent tes flancs, enregistrent les séismes qu’elles provoquent dans leur progression vers ton ventre. Tu glisses sur le dos, ouvres tes jambes, m’offres l’accès à ton trésor le plus secret. D’un doigt timide j’approche ton cli. Tu projettes ton mont de Vénus vers ma main. Elle s’en empare, mon majeur a perdu sa timidité, les autres doigts écartent tes lèvres. Tu es chaude, trempée. Pendant que tu poursuis tes caresses sur mon sexe, j’explore le tien, séparant tes draperies, ouvrant ta grotte sacrée.
    
    Déjà tu me réclames en toi. Ton vocabulaire a bien changé. Tu veux « une grosse queue dans ta chatte », tu veux être « enfilée », tu veux me « faire gicler » au fond de toi. Je t’écoute, je te demande d’être patiente, te dis que nous avons encore le temps. Toi, si discrète en ville (mais beaucoup moins dans notre chambre), tu ne retiens plus ta voix. Je retrouve l’amante passionnée, la femme ...
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