1. Le coup de la panne


    Datte: 24/11/2018, Catégories: fh, hplusag, voisins, fépilée, Oral pénétratio, Auteur: Dominique, Source: Revebebe

    Au hasard de mes entrées et sorties du T2 que j’occupais la semaine dans la ville où je travaillais, je la rencontrais promenant son chien dans les allées de notre petite résidence calme et tranquille.
    
    Étant locataire depuis plus d’un an, j’avais remarqué cette femme, brune aux cheveux mi longs, environ 1,70 mètre… Pas un « canon » tel que le définiraient les magazines, mais belle, assez fine, avec un corps très agréable à regarder, légèrement maquillée… Elle possédait, a priori, une garde-robe très variée, allant des robes aux jeans, le tout, assez cool, assez sexy mais pas vulgaire, mettant en valeur soit ses jambes, soit sa poitrine, soit sa chute de reins qu’elle avait très cambrée.
    
    Je la savais mariée, mère d’une fille d’environ 18 ans, les ayant croisés en famille à 2 ou 3 reprises dans la résidence. Sans être à l’affût, j’avais remarqué que son mari avait des horaires de travail décalés et que sa fille n’était pas toujours présente.
    
    Au début, je la rencontrais environ tous les deux, trois jours, la saluant comme chacun le faisait en se rencontrant. Puis petit à petit, sans m’en rendre compte au départ, je la croisais de plus en plus souvent promenant son chien aux horaires où je quittais ou retrouvais mon logis.
    
    Était-ce un effet du hasard ? Toujours est-il que je m’étais vite habitué à la rencontrer tous les jours. Je la saluais, elle me répondait avec un grand sourire et un petit mot gentil sur le temps, nos horaires, son adorable toutou qui reniflait le ...
    ... bas de mes pantalons, quêtant une caresse que je lui donnais toujours… De plus en plus, nos conversations prenaient de l’ampleur, sans pour cela entrer dans nos intimités.
    
    Elle avait une voix douce. Un grand sourire illuminait son visage à chaque silence, mais elle était sûre d’elle, de son charme qui ne me laissait pas indifférent. Je devais avoir une bonne dizaine d’années de plus qu’elle et j’étais certainement plus âgé que son mari mais sûrement mieux conservé car j’avais toujours entretenu mon corps par de l’exercice et beaucoup de sports.
    
    À quarante-huit ans, j’avais un petit bourrelet sur les hanches dû à un amour de la « bonne bouffe » et à de bons apéros entre amis… Mon corps bien bronzé par une pratique régulière de nudisme n’était certes pas celui d’un apollon, mais celui d’un homme qui s’entretenait par une pratique régulière de la natation et d’un épicurien avide de tous les plaisirs.
    
    Parlons-en du plaisir… J’ai évoqué celui de la table et des bons moments entre amis, mais un autre plaisir me ravissait jour après jour : un amour pour le sexe, de toutes les façons… Car sans être pervers, j’ai pratiqué l’Amour à peu près sous toutes ses formes et je l’ai décliné à presque tous les temps.
    
    Au départ comme tout adolescent, j’étais hétérosexuel, puis au fil des années, des rencontres, des expériences, je suis devenu bisexuel, trouvant autant de plaisir avec les deux sexes et même avec le troisième…
    
    Vous pensez peut-être que je suis obsédé par le sexe ? ...
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