1. Ça c'est passé simplement 11


    Datte: 24/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Macerou, Source: Hds

    ... dans son sac et en sortant une carte de visite professionnelle, elle écrivit son adresse au dos : « Voilà mon adresse, tu viens diner ce soir, à toute l’heure. »
    
    Et en me quittant, elle posa un baiser sur son index et le mit sur mes lèvres, … elle était partit.
    
    L’après-midi se passa à la rédaction du compte rendu et mon collègue partit, avec sa voiture, vers 17,00 h. Quant à moi, avec la carte de visite, je m’aperçus qu’elle était gérante d’une agence immobilière, que celle-ci n’était pas loin de la place Bellecourt. Poussé par la curiosité, j’avais donc connu Evelyne, comme vendeuse, certes excellente, et j’étais curieux de voir l’agence dont elle assurait la gérance et je m’y rendis. Bureau sympa de l’extérieur, mais on ne voyait rien de l’intérieur. Je décidais d’y rentrer. Je fus accueilli par une charmante jeune femme, la trentaine et demandais Mme Evelyne G.
    
    Il me fut répondu : « Mme G. est arrivée cet après-midi à l’ouverture et elle m’a dit qu’elle s’absentait pour l’après-midi ayant un RV important et que d’autre part, demain, elle risquait d’être en retard ». Je m’excusais pour le dérangement et lui dit que je repasserais.
    
    Tiens, tiens, Evelyne avait pris son après-midi, … intéressant, … est-ce que c’était à cause de ma venue, … quel honneur, … enfin on verra ce soir.
    
    Avec sa carte j’appris également qu’elle habitait à Sainte Irénée. Le temps que je passe à l’hôtel que je prenne une douche, me change et que j’achète un beau bouquet de fleurs, il ...
    ... était pratiquement 18,30 h. Je prenais ma voiture et me dirigeais vers son immeuble, pour arriver vers 19,00h. Je me demandais comment se passerait ce diner et cette soirée.
    
    Sonnette à l’entrée, question, réponse, la porte de l’immeuble s’ouvre, et ascenseur jusqu’au 2ème. A peine sur le palier sa porte s’ouvre et je rentre.
    
    La porte fermée, je lui offre le bouquet
    
    Elle : « Il ne fallait pas, c’est trop gentil, je vais immédiatement le mettre dans un vase, rentres dans la salle de séjour, je reviens »
    
    Et elle fila dans la salle de séjour et j’en profitais pour l’examiner. C’est encore une très belle femme avec ses cheveux mi- longs qui encadrent un visage, avant, elle avait un chignon banane, certainement vieilli, mais souriant avec des yeux brillants et couleur de pêche.
    
    Elle est vêtue d’un genre de boléro bleu clair sur un corsage bleu en tissu arachnéen, avec un décolleté très échancré, dont le premier bouton fermé se trouve sous la belle rondeur de ses seins, qui paraissent un peu plus gros que dans mon souvenir, mais qui paraissent avoir une bonne tenue, à moins qu’ils ne soient soutenus par un soutien-gorge. Une mini-jupe, à mi-cuisses, qui semble être collée à ses hanches et met en valeur ses formes et laissent bien visibles ses jambes. Une paire de bas noirs transparents et ses éternels escarpins aux talons à aiguilles d’au moins 10cm.
    
    Elle revint, tenant le vase plein de fleurs dans les bras et le posa sur la table de la salle de séjour.
    
    Elle : Merci ...
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