1. Mes chères cousines (3)


    Datte: 23/11/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Genkid, Source: Xstory

    ... en place malgré aucune trace de soutien-gorge.
    
    — Comment ? Non c’est juste que je les apprécie, rien de plus, répondis-je avec un sourire encerclé par mon visage qui rougissait.
    
    Elle se redressa, arborant un large sourire enjoué, tenant son visage de côté avec une main et plaça son autre main sur ma cuisse ce qui me rendit paralysé d’incompréhension.
    
    — Ne t’en fais pas, je te comprends, moi-même, quand on prend nos bains ensemble, j’ai beaucoup de mal à contenir mon excitation.
    
    — Vos bains ? Ensemble ?
    
    — Oui ensemble, on a l’habitude depuis qu’on est enfant donc rien de plus normal, du moins jusqu’à ce que mon esprit ne voie plus que leurs corps, nues, s’agiter lorsqu’on joue, que mes tétons se frottent à leurs corps, que ma cuisse, entre conjointement aux leurs et que leurs délicates lèvres vaginales se frottent à ma cuisse. Depuis, chaque week-end se passe chez elles et je chéris nos bains.
    
    Au fur et à mesure qu’elle me disait ses mots, sa voix devenait torride et chaude, sa main montait le long de ma cuisse et elle se rapprocha dangereusement de mon pénis qui grandissait à chacun de ses mots. Incapable de dire quoi que ce soit, ni même d’envoyer un quelconque stimulus physique, elle continua sur le même ton après une courte pause.
    
    — Et ce n’est pas tout !
    
    Dit-elle avec beaucoup d’entrain tout en s’approchant sensuellement de mon oreille.
    
    — Un après-midi alors qu’Emma n’était pas avec nous, j’avais convaincu Julie de prendre un bain pour la ...
    ... première fois seule avec moi et une fois dans la salle de bain, après qu’elle ait jeté sa culotte de côté et qu’elle ait immergé son corps dans l’eau bouillante et limpide, elle semblait anormalement timide et, malgré le fait que mon corps n’avait pour elle plus aucun secret depuis les années, elle me lançait des regards anonymes sur mon corps lorsque je faisais mine de rêvasser.
    
    Elle avait maintenant la main sur mon pénis, recouvert par mon jean, qui était bientôt à sa taille maximale et, lorsqu’elle remarqua mon excitation, jeta un œil à l’endroit où mon pénis forcé une bosse à travers mon jean, pourtant assez épais, mordit ses lèvres et continua son histoire.
    
    — Ses jambes étaient dépliées jusqu’à la droite de mes fesses et ses bras étaient à moitié fermés sur sa poitrine timidement. Dans un élan d’audace je m’agenouillai, enjambai ses jambes et, toujours sur les genoux, me penchai sur elle, plaçai mon bras à gauche de son visage et l’observai, minutieusement et sans défense devant moi.
    
    Elle déboutonna mon pantalon pour y glisser sa main, froide mais pas désagréable, sur mon pénis et commença à faire des va-et-vient, penchée à côté de moi, ses tétons durcis à travers son débardeur et continua son histoire.
    
    — J’ai commencé par prendre ses bras et les mettre derrière sa tête pour ne plus qu’elle tente de se cacher, elle avait le regard apeuré, comme celles que les biches ont quand la lumière des phares leur dénude du voile d’obscurité qui les préserve, cependant sa ...