1. Sophie s’émancipe. 2


    Datte: 23/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... aussi forte. Je prends plaisir à le regarder bandant toujours. Je ne peux rester sans rien faire. Il faut que je le touche, que je le caresse.
    
    Ma bouche revient vers son membre et le prend presque en entier. Je suis allé au-delà de mes limites. Mon Dieu, quelle bite!
    
    Je commence de doux mouvements de va et vient. Mes mains caressent ses bourses, son fabuleux gourdin. Sa respiration devient plus courte, plus rapide, son sexe est si gros qu’il m’autorise une telle caresse. Je le suce avec délectation.
    
    Ma bouche qui aspire son membre lui procure de douces sensations mais moi je le voudrais dans ma chatte.
    
    Il se laisse déborder par son plaisir, il n’en peut plus, la pression dans ses bourses devient incontrôlable. Son sperme remonte sa lance, je voudrais retirer ma bouche mais il m’en empêche, retenant ma tête de ses deux mains.
    
    Dans un soubresaut, il éjecte un puissant jet de semence suivit de plusieurs autres qui manquent de m’étouffer mais je tiens bon, sa jouissance est au maximum.
    
    Son foutre chaud inonde ma bouche, englue ma langue, d’habitude je déteste ça, ne pouvant le supporter sans des haut-le cœur, mais là, j’en apprécie le goût.
    
    Gourmande, je voudrais tout avaler, mais je suis obligée d’en laisser échapper. J’adore la sensation si nouvelle pour moi de son sperme dégoulinant aux coins de mes lèvres.
    
    Dire que je refuse ce plaisir à mon homme !.............
    
    Je continue ma fellation, et ne cesse de le faire gémir sous mes doigts de plus en plus ...
    ... habiles. Son membre est toujours aussi ferme, aussi dur et m’invite à vivre d’autres aventures.
    
    -Prends- moi ! Sont les mots que je ne peux retenir en m’allongeant sur le dos et en écartant mes jambes, offrant à sa vue ma chatte entre-ouverte et dégoulinante de cyprine, Il ne se fait pas prier, sa bite toujours aussi raide.
    
    Il me chevauche, bien installé sur ses genoux, il me caresse avec une infinie douceur avant de s’allonger sur moi. Je sens son membre coincé entre nos corps. Le contact de son gourdin m’électrise et me redonne des envies libidineuses.
    
    J’aime être désirée par un « vrai » mâle, être sa femelle, prête à être saillie. Il m’embrasse dans le cou, me mordille les oreilles.
    
    Il a bien retenu sa leçon et se souvient que cette caresse me rend folle. Ses mains se glissent sous mes fesses et soulève mon bassin. Il me fait écarter les cuisses pour faire bailler ma chatte. ¬
    
    — Sophie, je peux te prendre ?… ¬ j’ai trop envie de me plonger en toi !
    
    — Oh oui… Vas-y ! Prends ma température avec ton gros thermomètre !
    
    J’ai trop envie de sa queue. Il se redresse sur ses genoux, tient sa matraque à l’horizontale et avance doucement son bassin.
    
    Mon sexe réclame sa queue. De mes mains, j’écarte mes lèvres intimes. Il me fait languir en frottant son gland sur ma vulve, le faisant buter sur mon clitoris, faisant semblant d’entrer.
    
    J’attends avec impatience que la grosse tête force la porte de mon antre béante et humide.
    
    Enfin… Le gland mafflu s’insinue ...